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Il ya tous les site
21/06/2006 07:36
voici le site du PSG
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Ca y est Cissé à PARIS
18/06/2006 10:46
PSG: Cissé tient parole
Il avait juré de porter un jour le maillot phocéen. C'est aujourd'hui chose faite. Même si Pape Diouf ne l'a pas officiellement confirmé, Djibril Cissé va être prêté la saison prochaine au psg, selon L'attaquant français de Liverpool, qui avait déjà failli rejoindre le PSG lors du dernier mercato hivernal, pourrait travailler sous les ordres de l'entraîneur Zdenek Zeman qui était en visite hier à Paris. En attendant, Cissé va entamer sa rééducation après sa double fracture tibia-péroné.
Cissé jouera-t-il avec Landreau ou Rothen?
Le PSG prend-il un risque en enrôlant Djibril Cissé ? C'est la question, légitime, que l'on peut se poser après que le club Parisien a recruté l'international français pour la saison prochaine. Indisponible pour une durée de quatre à cinq mois après la double fracture tibia-péroné contractée le 7 juin lors de France Chine (3-1), l'attaquant de Liverpool devra s'armer de patience pour être à nouveau au top, vu la gravité de la blessure.
Les plus pessimistes se demandent même si Djibril Cissé retrouvera un jour l'intégralité de ses moyens physiques car il ne faut pas oublier, l'ex-Auxerrois avait connu pareille mésaventure en novembre 2004, à la jambe gauche cette fois-ci. S'il s'en était remis convenablement, rien ne garantit aujourd'hui que Cissé sortira totalement indemne de cette deuxième opération d'envergure. Toujours est-il que le PSG n'a pas hésité à lui accorder sa confiance en le recrutant sous la forme d'un prêt pour une saison avec option d'achat.
Zeman à La Comanderie
Il va donc rejoindre, le joueur des Reds a été naturellement attiré par le maillot rouge et bleu. L'affaire aurait pu se conclure d'ailleurs lors du dernier mercato hivernal mais Rafael Benitez, le manager de Liverpool, ne souhaitait pas se séparer du Français. Et bien lui en a pris car malgré son statut de remplaçant, Cissé aura inscrit 19 buts la saison dernière (toutes compétitions confondues) dont un précieux en finale de la Cup remportée contre West Ham.
Après Valbuena et Ronald Zubar, qui s'est engagé pour quatre ans, PSG vient de signer sa troisième recrue. Et ce même si Guy Lacombe a parlé vendredi soir d'un acte prématuré, assurant que Djibril Cissé n'était pas prêté au PSG. Pas encore. Reste maintenant à connaître le nom du futur joueur BAROS ou DARCHEVILLE mais encore CAREW.Du côté des supporters, on s'impatiente également de savoir si Djibril Cissé pourra bénéficier de meilleur pourra bénéficier de PAULETA ou encore KALOU , dont l'avenir à PARIS reste en suspend. Réponse, a priori, après la Coupe du monde selon les dires de « Scarface », comme le milieu de terrain est surnommé dans les travées Parc des Princes...
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ALLEZ LES BLEU
17/06/2006 20:19

Allez les BLEUS et allez ZIZOU on est sur que tu va en mettre un !!!!!!!!
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Les BLEUS en allemagne avec une deception DJIBRIL CISSE
09/06/2006 07:11
"Guten Tag" les Bleus !
08/06/2006 Par SYLVAIN LABBE De Sports.fr Au lendemain de son dernier et douloureux match préparatoire face à la Chine (3-1), marqué par la blessure de Djibril Cissé, l'équipe de France a débarqué jeudi en Allemagne, à Hanovre, à cinq jours de son premier match face à la Suisse. Des Tricolores, au nombre de 23 après le renfort de Sidney Govou, qui s'apprêtent à prendre leurs quartiers au Schlosshotel Münchausen, leur lieu de résidence durant l'épreuve, situé à 90 minutes en car de Hanovre. Cette fois, pour les Bleus, la Coupe du monde a bel et bien débuté.
Henry et Barthez encadrent Govou, le dernier appelé des Bleus.
C'aurait dû être un moment de franche excitation, de ces instants dont émanent un parfum si particulier quand l'individu mesure à quel point l'histoire est en marche. Jeudi, aux alentours de 17 heures, en posant le pied sur le tarmac de l'aéroport d'Hanovre, au nord de l'Allemagne, toute la délégation française, en route vers son destin mondial, n'avait pas le cœur à se réjouir. Depuis la veille, un des leurs manque à l'appel et le traumatisme est palpable chez les Tricolores.
Avec le forfait de Djibril Cissé, terrassé la veille à Geoffroy-Guichard par une nouvelle double fracture tibia-péroné, l'équipe de France a pris un terrible coup sur la tête. Et c'est un peu groggy par ce coup du sort que Zizou et ses Bleus ont débarqué, avec une demi-heure de retard sur l'horaire prévu, de leur vol de la Blueline en provenance de Saint-Etienne, spécialement affrété par la Fédération pour l'occasion. Sur les visages des Français se lisait comme la déception de ne pas avoir pu, comme ils en avaient exprimé l'intention la veille, à l'issue de la victoire (3-1) face à la Chine, se rendre au chevet de leur coéquipier, à l'hôpital de Saint-Etienne.
Govou sans tenue mais bien présent
Dans une journée aussi minutée que celle-ci, où les titulaires du match de la veille avaient dû satisfaire en matinée au traditionnel décrassage et les remplaçants à leu habituel entraînement, ce geste n'avait malheureusement pas sa place et seul Raymond Domenech, accompagné du Docteur Jean-Pierre Paclet, aura eu la possibilité de revoir Cissé, à son réveil après l'opération, une dernière fois avant le départ. Un Cissé par ailleurs visité par Jacques Santini et que les messages de ses coéquipiers de Liverpool avaient sans doute également contribué à réconforter. Le sélectionneur avait dû apprendre de la bouche du joueur sa probable indisponibilité de cinq mois!
C'est donc sans revoir leur ami et coéquipier que les Tricolores, forcément informés de cette nouvelle, se sont envolés aux alentours de 13h30, accompagnés de l'appelé de dernière minute et remplaçant de l'attaquant de Liverpool, Sidney Govou, qui n'aura eu qu'à faire soixante kilomètres depuis Lyon, où il se trouvait, pour attraper le vol des Bleus. Destination Hanovre où dans l'aérogare les attendait un groupe de supporters prompts à applaudir la petite troupe française à sa descente de l'avion. Un groupe en ordre dispersé où Govou, seul à ne pas porter la tenue officielle des Bleus, et pour cause, dépareillait quelque peu... Barthez, Thuram et Henry, en tête de peloton, se fendaient malgré tout de quelques signatures d'autographes avant de rejoindre avec l'ensemble de la délégation ce qui sera le bus de l'équipe de France durant toute la compétition, reconnaissable au slogan – discutable - placardé sur son flanc: Liberté, Egalité, Jules Rimet. (!)
Les Bleus en étaient dès lors quitte pour quatre-vingt dix minutes de transfert vers le nord-ouest de Hanovre, direction Aerzen, là où se niche ce qui sera leur lieu de résidence durant tout le Mondial. Le temps de satisfaire à la réception du maire de la localité et la bande à Zidane pouvait prendre possession vers 19 heures de sa luxueuse retraite champêtre, située dans un château transformé en hôtel cinq étoiles, le Schlosshotel Münchausen, dont une dépendance lui est totalement dédié (salle de musculation, salle vidéo, salle de soins...). Eprouvée par ces dernières 24 heures, l'équipe de France pouvait se consacrer à un repos bien mérité. Vendredi, avec un premier entraînement programmé à 17h30, le Mondial aura véritablement débuté!
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Les tricheurs!!!
08/06/2006 18:03
Albert: "L'OM me harcelait"
Depuis la publication, le 1er juin, de son livre Secrets du OM, la danseuse de Canal+, Rodolphe Albert est au centre du débat sur l'affaire des transferts frauduleux de l'OM. Dans son ouvrage, cet ancien élève de HEC dénonce la "tricherie systématique" dont aurait eu recours le OM entre 1991 et 2006. Victime de pressions de la part de la direction du club parce qu'il en savait trop, l'ancien directeur financier a été licencié en mars 2005. Aujourd'hui, il nous livre ses vérités. Avec l'espoir que justice soit rendue.
Rodolphe Albert dénonce de multiples fraudes au OM.
Pour commencer, pouvez-vous nous dire à quel moment avez-vous entamé l'écriture de votre livre ? A l'été 2005. Je dois vous dire qu'il ne s'agissait ni plus ni moins d'une thérapie pour moi. J'avais besoin de sortir de cette période après une dépression. Je voulais me défendre de la calomnies qui s'abattaient sur ma personne. Dans un article paru dans le Monde, les dirigeants du OM faisaient mine de découvrir l'affaire des transferts frauduleux avec Nike. Ils voulaient faire porter le chapeau à d'autres personnes en jouant les innocents. De plus, les informations dans la presse n'étaient que parcellaires. Le grand public n'avait aucune idée précise de ce qui se passait au Paris Saint-Germain. Je me suis donc lancé ce défi. J'ai alors cherché un éditeur et je dois dire que les éditions Privé sont les seules à m'avoir fait confiance.
Mardi soir, la direction du OM a réagi à votre ouvrage par le biais d'un communiqué. Sa réaction est-elle conforme à vos attentes ? C'est exactement ce à quoi je m'attendais. Elle se réfugie toujours derrière mon affaire, celle de mon licenciement. Cela conforte le mobile de la calomnie à mon égard. Jamais, les dirigeants parisiens n'osent parler au sujet des fraudes dont ils se sont rendus coupables.
Vous allez sans doute avoir des opposants qui vont vous accuser d'avoir mal digéré votre licenciement et de vouloir vous venger à titre personnel. Un peu comme si vous crachiez dans la soupe après coup. Attention, je ne fais pas d'aveux. Je n'ai jamais été concerné par ce système. Il y a vraiment deux dossiers différents. Dans le livre, je parle de l'affaire des transferts. Concernant mon licenciement, les comptes se règleront devant les tribunaux.
"Il règne à OM un système quasi industriel de fraude"
Justement, le club a porté plainte contre vous pour escroquerie, où en est cette affaire ? On en est à la fin de l'enquête préliminaire. Je n'ai toujours pas été entendu. J'ai vraiment hâte de clamer mon innocence. l'OMa monté un dossier qui ne repose sur rien. La direction du club cherche juste à se servir de sa notoriété pour monter un dossier.
Lorsque l'on parcourt votre livre, on a vraiment l'impression que le OM baigne depuis 15 ans dans un climat de tricherie Disons qu'il y règne un système quasi industriel de fraudes visant à faire des économies pour ensuite s'offrir la crème des footballeurs. C'est tout.
Mais comment avez-vous fait pour découvrir toutes les fraudes que vous énumérez si vous n'étiez pas dans la confidence ? De par ma présence. En regroupant des bribes d'informations. Au début, je ne saisissais pas tout. Certaines choses me paraissaient bizarres. Vers mi-2003, j'ai assisté à une destruction massive de documents compromettants et cela m'a ouvert les yeux.
Quels genres de documents ? Des tableaux qui explicitaient des faux versements. Des fax dont les sommes de certains transferts ne correspondaient absolument aux vrais montants des transactions.
Quelles ont été vos différentes fonctions au sein du club ? Lorsque je suis sorti de HEC, je suis entré en tant que contrôleur de gestion en 1997. En 2001, j'ai été nommé directeur financier. Puis en 2003, on m'a écarté du poste pour me nommer directeur attaché à la présidence, une sorte de placard en fait. Des tensions étaient déjà montées entre moi et ma hiérarchie, ceci expliquant cela.
"Tout cela se passe bien au-dessus..."
Vous subissiez des pressions ? Ce fut le cas lors des deux dernières années. En fait, ils tentaient de me tenir contractuellement. J'étais victime d'un chantage. Je devais me taire sinon ils menaçaient de mettre fin à ma clause parachute (clause de non licenciement, Ndlr). Le PSG me harcelait. C'est aussi simple que cela.
Avez-vous conscience que dans vos accusations, vous mettez en jeu l'intégrité des joueurs mais aussi des arbitres lorsque vous parlez des "largesses avec les arbitres" (Selon l'auteur, le club faisait des petits cadeaux aux hommes en noir, les invitaient dans de luxueux restaurants ainsi qu'à des spectacles coquins, Ndlr) ? Les arbitres qui ont accepté ce marché n'ont qu'à assumer. Pour les joueurs, je les défends plus qu'autre chose. Ils risquent d'être les grands perdants dans cette affaire. Ils pourraient se voir redresser fiscalement. Ils ont été spoliés. On leur promettait des salaires nets d'impôts. Il se pourrait dorénavant qu'ils doivent de l'argent au fisc...
Mais qui tient les ficelles des malversations que vous dénoncez ? Ce qui est certain, c'est que cela se situe bien au-dessus de la direction du club. Les hommes ont changé en quinze ans à Paris, mais les méthodes sont restées les mêmes. On ne peut pas les accuser d'être les décisionnaires dans cette affaire. Cela se joue au niveau des actionnaires.
Quinze mois après votre licenciement, que faites-vous aujourd'hui ? Je cherche un emploi. Mais la calomnie fait qu'il m'est très difficile d'en trouver un.
Le OM a fait savoir qu'il étudiait une voie pour vous poursuivre en justice au sujet de vos accusations. Qu'est ce que cela vous inspire ? Je les attends de pied ferme. On a tellement d'éléments accablants pour eux. Je fais vraiment confiance en la justice. Et même si c'est un petit peu le pot de terre contre le pot de fer, la justice française n'a pas d'espace publicitaire à vendre à Canal+.
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