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24/05/2006 08:30
Coupet s'en contente
23/05/2006
Grégory Coupet souffre en silence à Tignes.
Comme les 22 autres Bleus, Grégory Coupet est parti s'oxygéner du côté de Tignes. Mais, à l'inverse de ses partenaires, le portier lyonnais n'aborde pas la Coupe du monde motivé comme jamais. Lui qui devra rester dans l'ombre de Barthez en Allemagne, a vécu la décision de Raymond Domenech comme un déchirement et l'a fait savoir. Reste, qu'en Savoie, comme il l'avait promis, Coupet semble avoir remisé sa rancœur au placard et joue le jeu comme si de rien n'était. Pour le bien du groupe. Lire l'article
Les Stades
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Raymond Domenech a livré dimanche, à Clairefontaine, sa liste des 23 sélectionnés tricolores pour la prochaine...
A l'origine en 1998 de la surprise Thierry Henry, qu'il avait conseillé à Aimé Jacquet, Raymond...
A peine remis de ses émotions au lendemain de sa sélection parmi les 23 heureux élus...
Après douze ans d'absence en Coupe du monde, les Helvètes sont impatients d'en découdre. Co-organisateurs de...
La Sélection Wanadoo Sports
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24/05/2006 08:30
Coupet s'en contente
23/05/2006
Grégory Coupet souffre en silence à Tignes.
Comme les 22 autres Bleus, Grégory Coupet est parti s'oxygéner du côté de Tignes. Mais, à l'inverse de ses partenaires, le portier lyonnais n'aborde pas la Coupe du monde motivé comme jamais. Lui qui devra rester dans l'ombre de Barthez en Allemagne, a vécu la décision de Raymond Domenech comme un déchirement et l'a fait savoir. Reste, qu'en Savoie, comme il l'avait promis, Coupet semble avoir remisé sa rancœur au placard et joue le jeu comme si de rien n'était. Pour le bien du groupe. Lire l'article
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24/05/2006 08:27
Fernandez lâche Marseille
23/05/2006 Par AXEL CAPRON De Sports.fr Jean Fernandez n'est plus l'entraîneur de l'Olympique de Marseille. Les dirigeants phocéens ont annoncé la nouvelle mardi après-midi suite à une rencontre entre le président Pape Diouf et l'intéressé. "Le club prend acte de ce choix personnel et le respecte, mais sa brutalité et son caractère inattendu ont surpris", indique le communiqué de l'OM qui "travaille activement à la recherche d'un successeur". Le nom de Didier Deschamps circule sur le Vieux Port pour remplacer Jean Fernandez, attendu de son côté à Auxerre.
Jean Fernandez ne sera resté qu'un an à Marseille.
Un petit tour et puis s'en va... Un an après avoir quitté Metz pour Marseille dans les mêmes conditions, Jean Fernandez a donc une nouvelle fois pris l'initiative de son départ, choisissant d'abandonner le navire marseillais pour sans doute répondre aux sirènes auxerroises. De quoi surprendre les dirigeants de l'OM, eux qui, début mai, avaient entendu Jean Fernandez prononcer des paroles qui semblaient alors définitives: "Sachez une chose: l'année prochaine, je serai à l'OM. La situation actuelle est de travailler et de préparer la saison prochaine."
Depuis, beaucoup d'eau a dû couler sous les rares ponts marseillais pour expliquer la volte-face de l'ex-entraîneur de Metz qui a donc annoncé sa décision de partir à son président Pape Diouf mardi. Inutile de dire que ce dernier a dû l'avoir un peu mauvaise en entendant l'argumentaire de Jean Fernandez qui, selon le communiqué du club, "a fait état des raisons personnelles ayant motivé sa décision et qu'il lui appartient de rendre publiques s'il le souhaite."
Et si l'OM fait mine de la jouer fair-play en déclarant que "le club prend acte de ce choix personnel et le respecte", c'est aussitôt pour ajouter que "sa brutalité et son caractère inattendu ont surpris. Il contredit les engagements donnés ainsi que le travail de préparation de la prochaine saison sportive réalisé jusqu'ici en osmose entre Pape Diouf, José Anigo et Jean Fernandez." Alors que les dirigeants croyaient enfin tenir l'entraîneur idoine pour apporter un peu de stabilité à un club qui a usé quelques techniciens ces dernières années (Alain Perrin, José Anigo, Philippe Troussier avec intérim d'Albert Emon pour ne citer que les derniers...), voilà que l'homme leur file entre les doigts pour rejoindre un club rival, sans doute Auxerre.
Deschamps a tout pour plaire
A croire que le calme contexte bourguignon, malgré l'ombre tutélaire et parfois étouffante de Guy Roux (Jacques Santini l'a vécue à ses dépens), est plus favorable à son épanouissement que celui, plus agité, de l'Olympique de Marseille. Il semble en fait, mais l'intéressé aura sans doute l'occasion de s'en expliquer, que Jean Fernandez ait eu peur de "sauter" dès la moindre contre-performance, préférant jouer la stabilité dans un club demandeur d'un profil de formateur proche du sien. L'autre argument régulièrement avancé, mais qui ne sera bien évidemment jamais publiquement mis en avant, tient au rôle parfois mal défini du directeur sportif José Anigo, jugé trop interventionniste.
Ce dont l'intéressé se défendait récemment avec véhémence dans les colonnes de La Provence: "On me reproche un interventionnisme à outrance dans le domaine strictement sportif, mais je ne me suis jamais imposé sur ce terrain-là en lieu et place de Jean Fernandez. Entre lui et moi, chacun avait son rôle et je ne me suis jamais mêlé des affaires propres au coach (...) Nous avions même évoqué des projets sur la durée. Et quelques jours plus tard, voilà qu'il part."
Après une saison globalement satisfaisante, même si terminée sans Coupe d'Europe (hormis l'Intertoto que l'OM jouera, ce que ne souhaitait pas le technicien) ni titre, Jean Fernandez laisse donc les dirigeants phocéens sur le sable, contraints de rapidement trouver une solution. "Malgré la déception ressentie au regard de l'attachement affectif qui nous liait, le départ de Jean Fernandez n'est pas de nature à remettre en cause la politique sportive et le travail d'équipe réalisés depuis un an. Le départ d'un homme, si important soit-il, ne peut mettre à mal l'organisation mise en place et le projet sportif sur lequel le club s'est engagé et que nous continuerons d'appliquer la saison prochaine", explique la direction mardi avant de préciser que "le club travaille activement à la recherche d'un successeur. Au-delà d'une personnalité de renom, l'équipe dirigeante recherche un entraîneur aux compétences techniques incontestables, possédant les qualités humaines indispensables pour réussir à Marseille."
Le profil de Didier Deschamps ? Le nom du capitaine de l'équipe championne d'Europe en 1993 revient actuellement avec insistance du côté de Marseille, d'autant que l'homme présente pas mal d'avantages: il est libre depuis qu'il a quitté Monaco, il a déjà une bonne expérience de la Ligue 1 en tant qu'entraîneur et un palmarès (une Coupe de la Ligue, une finale de la Ligue des champions). Il connaît le contexte marseillais pour l'avoir vécu en tant que joueur, bref, Deschamps a tout pour plaire. Quel que soit l'heureux élu, sa tâche est d'ores et déjà fixée: "Il s'agira de confirmer lors de la prochaine saison les performances qui ont amené cette année l'OM en finale de la Coupe de France et à réussir un parcours honorable aussi bien en championnat qu'en coupe d'Europe." En gros faire au moins aussi bien que Jean Fernandez...
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Sans RIBERY ça se relache pas!!!!!!!
24/05/2006 08:25
Les Bleuets en imposent
23/05/2006 Par FABRICE VOISIN De Sports.fr Consulter aussi: Portugal-France à la loupe
L'équipe de France espoirs a de sérieux arguments pour espérer aller au bout de l'Euro au Portugal. Les hommes de René Girard l'ont démontré d'entrée en s'imposant face aux Portugais, pourtant soutenus par leur public et qui restaient sur une série de dix victoires. Les Bleuets ont fait preuve de beaucoup de solidité et de sérénité pour remporter ce premier match, 1-0. Dominateurs en première période avec le but inscrit par Briand, les Français ont ensuite géré leur avantage. Prochaine sortie jeudi face à l'Allemagne.
Briand, auteur du but de la victoire.
Des Bleuets comme des grands. René Girard a certainement apprécié mardi soir, à Braga, la maturité de son équipe. Car s'ils ont moins de 21 ans, les joueurs qui font l'ossature de cette équipe de France bis disposent tous déjà d'un sérieux bagage, tant tactique qu'en termes d'expérience. Face à leurs homologues portugais qui évoluaient à domicile et qui, surtout, restaient sur une impressionnante série de dix victoires consécutives, les Tricolores ont ainsi fait la démonstration de leur solidité, incarnée au milieu de terrain par Rio Mavuba et Jérémy Toulalan, deux récupérateurs de haut niveau épaulés par un Yoann Gourcuff très à l'aise à la création.
Avec des joueurs aussi talentueux, les Français n'avaient pas de mal en première période à dominer la situation et avaient nettement l'avantage de la possession du ballon. Face aux 30 000 supporters portugais présents à Braga, les hommes de Girard, tranquilles et sérieux, se montraient les plus dangereux. Faubert se procurait une occasion franche (30e) puis Sinama-Pongolle trouvait le poteau (34e) et Mavuba alertait le gardien (35e). Finalement, la récompense arrivait logiquement à la 40e minute quand un long centre de Faubert était repris victorieusement de la tête par Briand.
Mandanda sécurise
L'avantage des Bleuets était largement mérité tant ils avaient fait preuve de maîtrise. Encore fallait-il le conserver en deuxième période. Au retour des vestaires, les Portugais se montraient plus entreprenants et l'entrée en jeu de Varela gênait considérablement l'équipe de France. Electron libre, Varela pesait offensivement et obligeait Girard à réagir en faisant notamment entrer Diarra pour solidifier l'arrière-garde. Un choix judicieux, même si le Portugal continuait à presser. Mais les Bleuets pouvait s'appuyer sur leur gardien, Steve Mandanda. Le Havrais veillait au grain et se montrait même décisif face à Varela (56e) ce qui avait le don d'insuffler de la confiance à toute l'équipe.
Une équipe qui se montrait solidaire et combative, à l'image d'un Toulalan exemplaire, pour conserver son avantage jusqu'au bout. Cette première victoire place évidemment les Tricolores de façon idéale avant la suite des événements. Place maintenant à la récupération car il n'y aura que 48 heures avant le prochain match, jeudi, face à l'Allemagne. Des Allemands qui ont débuté aussi bien que les Français en s'imposant 1-0 contre la Serbie.
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22/05/2006 12:24
Lyon fonce sur Pauleta
22/05/2006 Par PIERRE-GILLES HUOT De Sports.fr Entre Lyon et Paris, l'ambiance est quelque peu tendue... Dimanche, l'intérêt que porte l'Olympique Lyonnais à Pauleta a pris une nouvelle tournure. Sur les ondes de RMC, Guy Lacombe s'est étonné de l'offre proposée par le club champion de France pour s'attacher les services de l'attaquant parisien. Une offre qualifiée d'"astronomique", tout en reconnaissant qu'une telle approche n'était pas à négliger. Lyon n'a toutefois pas tardé à réagir, en précisant que les sommes évoquées n'engageaient que les dirigeants parisiens...
Pauleta cèdera-t-il aux avances de Lyon ?
Depuis le coup d'envoi du grand marché des transferts, Lyon joue l'offensive. Insatiable après la quête de sa cinquième couronne consécutive de champion de France, l'Olympique Lyonnais ne recule devant rien. Après avoir semé le trouble dans le camp marseillais en voulant s'offrir les services de Franck Ribéry, pourtant jugé "intransférable" par les dirigeants olympiens, voilà Lyon qui lorgne désormais sur le meilleur buteur de Ligue 1 cette saison, Pedro Miguel Pauleta. L'attaquant international portugais, qui aura claqué 21 buts en championnat, n'a pas manqué de confirmer l'existence des contacts par le biais de son agent, tout en ajoutant qu'il préférait se focaliser sur la Coupe du monde et non pas sur les éventuelles histoires de transfert.
Mais, Jean-Michel Aulas, lui, ne serait pas de cet avis, préférant boucler le dossier avant le Mondial. En attendant, le feuilleton Pauleta a pris une nouvelle tournure avec les déclarations de Guy Lacombe. Invité dimanche sur les ondes de RMC, l'entraîneur du PSG a en effet confié que le club de Jean-Michel Aulas avait fait une énorme offre pour que Pauleta se décide à poser ses valises du côté de Lyon: "On ne s'attendait pas à cela. Le PSG tient absolument à garder Pedro mais Lyon lui a fait une offre astronomique. Et dans ce genre d'affaire, c'est souvent le joueur qui a la réponse."
Lacombe: "C'est du 50-50..."
Le technicien parisien, désireux de conserver son joueur, fait toutefois preuve de lucidité. "Pedro aime énormément Paris". a-t-il ajouté. "Mais il faut comprendre certaines choses. A son âge, signer à Lyon, le plus grand club français, avec une offre financière aussi importante, ce n'est pas à négliger. Pour l'instant, il est toujours à Paris. On fera tout ce qui est en notre pouvoir pour qu'il reste. Mais c'est du 50-50."
Des propos qui sont arrivés rapidement aux oreilles des dirigeants lyonnais. Ces derniers n'ont toutefois pas apprécié les commentaires de leurs homologues parisiens: "L'Olympique Lyonnais s'étonne des conditions de rémunération qui auraient été proposées à Pauleta et qui n'engagent que les dirigeants parisiens qui évoquent ces sommes et en aucun cas l'Olympique Lyonnais", peut-on lire dans un communiqué publié sur le site du club. "Quant aux commentaires des dirigeants parisiens sur la gestion humaine et financière de l'Olympique Lyonnais, l'Olympique Lyonnais rappelle qu'il ne s'est jamais permis de commentaires sur la gestion des dirigeants des autres clubs et n'accepte pas qu'on s'immisce dans la sienne".
Le message a le mérite d'être clair. Malgré les tensions actuelles, le contact ne devrait cependant pas être coupé dans les prochaines semaines. Affaire à suivre...
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