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Créé le : 07/03/2006 20:37
Modifié : 05/02/2007 17:50

garçon (11 ans)
Origine : planète du PSG et dans le cul l'OM
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PARI§ c'est réveillé!!!

20/08/2006 09:28



Paris première !

Le PSG a enfin gagné cette saison. A domicile, les Parisiens ont fait perdre, samedi soir, leur invincibilité aux Lillois lors de la 3e journée de Ligue 1. Un but sur coup franc de Pauleta a suffi aux hommes de Guy Lacombe qui l'emportent 1-0. Nancy, battu à Saint-Etienne 1-0, n'en profite pas pour prendre la tête d'un classement désormais dominé par Marseille. Mené 2-0 par Valenciennes, Le Mans a renversé la vapeur pour s'imposer 4-2. Monaco a, lui, obtenu le nul à Rennes 1-1.

PSG-Lille: 1-0
Le match à la loupe

Le retour de Pauleta

Pedro Miguel Pauleta a ouvert son compteur but face au Losc.Pedro Miguel Pauleta a ouvert son compteur but face au Losc.
Performance de premier ordre de la part des Parisiens qui s'offrent leur première victoire de la saison en s'imposant 1-0 face à Lille grâce à leur capitaine Pedro Miguel Pauleta.

Le début du match est nettement à l'avantage des Lillois qui surclassent des Parisiens bien frileux en attaque. A. Keita profite de la désorganisation parisienne pour s'offrir la première occasion franche du match sur un centre-tir bien inspiré (16e). Guy Lacombe sent son équipe en difficulté et donne de la voix sur son banc et déjà Pauleta s'illustre devant le but nordiste obligeant Sylva à la parade (20e). Le capitaine parisien est immédiatement suivi par Rozehnal auteur d'une volée sauvée sur sa ligne par le gardien lillois d'un arrêt réflexe (33e).

Au retour des vestiaires, le PSG reprend rapidement ses marques sur le terrain et concrétise sa domination sur une réalisation de Pauleta (60e, 1-0). Sur un coup franc dans les 18 mètres nordistes à la suite d'une faute de main de Sylva hors de sa surface, le Portugais plante le ballon au fond des filets d'un tir du plat du pied à ras de terre. L'expulsion de Schmitz (64e) sonne le glas des espérances des Lillois qui ne se procureront plus guère d'occasions en fin de rencontre à l'inverse de leurs adversaires.

Au classement, le PSG opère une remontée à la 10e place tandis que Lille abandonne sa place de leader pour la 3e place.

Prochains matches: Sochaux-PSG ; Lille-Bordeaux

Saint-Etienne-Nancy: 1-0
Le match à la loupe

Belle victoire verte

Ilan a offert les 3 points aux Verts.Ilan a offert les 3 points aux Verts.
Saint-Etienne s'impose face à Nancy grâce à un but de son Brésilien Ilan (1-0). Nancy n'a pas démérité au cours d'une rencontre enlevée, que les deux équipes auraient pu remporter.

Les Nancéiens débutaient la rencontre tambours battants avec une énorme occasion d'entrée de jeu pour Moncef Zerka qui récupérait une passe mal ajustée de Diatta vers son gardien, mais le Marocain perdait son duel face à Janot venu à sa rencontre (3e). Nancy continuait sa domination avec un Zerka omniprésent qui frappait en plein sur le gardien stéphanois alors que Sauget l'avait placé dans une position idéal (15e). Après ce nouvel avertissement, les Verts sortaient de leur torpeur avec Feindouno et Piquionne comme artilleurs, le Guinéen voyant notamment une de ses frappes déviée in extremis au-dessus du but de Bracigliano (21e). Le rythme montait encore d'un cran lors des dix dernières minutes de la première période et Zerka pour Nancy (37e) puis Ilan pour Saint-Etienne (38e), tous les deux un peu courts, certainement à cause de la pelouse glissante, manquaient d'ouvrir la marque.

Dès la reprise, Julien Sablé, capitaine des Verts, montrait la voie à ses partenaires avec une talonnade au premier poteau non cadrée (46e). Après une heure de jeu très animée et indécise, les Stéphanois prenaient l'avantage grâce à une reprise de volée d'Ilan qui bénéficiait d'une remise en retrait de Piquionne (1-0, 63e). Huit minutes plus tard, Duchemin se faisait expulser pour un second avertissement en 12 minutes et compliquait encore davantage la tâche de ses partenaires (72e). Les hommes de Pablo Correa ne baissaient cependant pas les bras et Sauget mettait Janot à l'ouvrage en décochant deux frappes lointaines (84e et 89e). Le gardien stéphanois sortait deux arrêts de grande classe qui offraient finalement les trois points de la victoire à Saint-Etienne. Les Verts rejoignent ainsi Nancy au classement avec six points à la cinquième place.

Prochains matches: Saint-Etienne-Lens ; Nancy-Auxerre

Le Mans-Valenciennes: 3-2
Le match à la loupe

Le Mans renversant

Romaric, l'un des trois buteurs manceaux.Romaric, l'un des trois buteurs manceaux.
Au terme d'un match fou, Le Mans, grâce notamment à un Romaric d'exception, a finalement battu Valenciennes, qui menait pourtant 2-0 après un doublé inscrit avant la demi-heure de jeu.

C'est une histoire de révélation. Et le premier à se mettre en évidence se nomme Steve Savidan. Déjà très remuant lors de ses deux dernières sorties, le meilleur buteur de Ligue 2 de l'an dernier frappait fort en inscrivant un doublé. Un poteau pour commencer (5e), une frappe croisée pour concrétiser (10e, 0-1) et une tête pour désarçonner Yohann Pelé (27e, 0-2).

Les hommes de Frederic Hantz passent alors une première demi-heure de cauchemar, avant que Romaric ne surgisse. L'Ivoirien, replaçé milieu axial depuis le début de la saison, égalisait avant la pause d'un coup franc (37e, 1-2). La puissance du gaucher faisait ensuite trembler la transversale avant que Samassa ne pousse au fond pour l'égalisation (53e, 2-2). Ismael Bangoura s'en allait ensuite crucifier Grondin pour la délivrance (80e, 3-2).

Le Mans, désormais deuxième de Ligue 1, se déplacera au Stade Vélodrome la semaine prochaine pour le choc des leaders au classement. Valenciennes (12e) a montré de belles choses, mais repart battue.

Prochains matches: Marseille-Le Mans ; Valenciennes-Rennes

Rennes-Monaco: 1-1
Le match à la loupe

Point de vainqueur

Jan Koller avait ouvert la marque pour l'ASM.Jan Koller avait ouvert la marque pour l'ASM.
Match nul un but partout entre Rennes et Monaco ce samedi soir.
Si le début de rencontre est relativement équilibré entre les deux formations, ce sont pourtant les visiteurs qui ouvrent la marque au quart d'heure de jeu par l'intermédiaire du géant tchèque Koller dont la frappe du droit à l'entrée de la surface adverse trompe le portier rennais et permet à l'ASM de prendre l'avantage (0-1, 13e).
Dès lors, Monaco décide de se replier dans son camp et de procéder par contre. Rennes se montre alors un peu plus, sans toutefois parvenir à mettre en danger Roma et sa défense.

Au retour des vestiaires, les supporters bretons comprennent que leurs protégés sont revenus sur la pelouse avec la ferme intention de recoller au score. Et après une frappe puissante de Hadji (58e) suivie d'une bicyclette manquée de peu par Briand (64e), c'est ce dernier qui trouve finalement la faille dans la surface adverse, en reprenant victorieusement du droit un service parfait de Moreira (1-1, 86e).

Le score n'évoluera plus et au coup de sifflet final, Rennais et Monégasques se quittent sur ce score nul qui les laisse respectivement en 20e et 18e position du classement.

Prochains matches: Valenciennes-Rennes ; Monaco-Sedan






henry dit:NON AU RACISME, POURQUOI PAS NOUS??

20/07/2006 08:57

henry dit:NON AU RACISME, POURQUOI PAS NOUS??


NON AU RACISME!!!!!!!!!

NON AU RACISME!!!!!!!!!

NON AU RACISME!!!!!!!!!

 








A dieu ZIZOU

15/07/2006 09:29



"Je ne peux pas regretter..."

12/07/2006 Par SYLVAIN LABBE
De Sports.fr
Consulter aussi:
Sa Coupe du monde et sa retraite: "Le plus honnête possible"

Acceptant mercredi, sur l'antenne de Canal+, trois jours après la finale de Coupe du monde perdue par l'équipe de France face à l'Italie, de revenir sur son coup de tête asséné au défenseur italien Marco Materazzi, Zinédine Zidane a présenté ses excuses aux enfants et au public pour ce geste "impardonnable". Mais le meneur de jeu des Bleus a en revanche refusé d'exprimer des regrets après avoir été insulté par ce qu'il affirme être "des mots très durs" à l'encontre de sa maman et de sa sœur.

Zidane a refermé la page de la Coupe du monde et avec elle de sa carrière... Zidane a refermé la page de la Coupe du monde et avec elle de sa carrière...
Trois jours de silence, trois jours au cours desquels le monde entier, pris dans une frénésie, il faut le dire, un peu vaine, a cherché surtout à savoir et peut-être un peu moins à comprendre comment l'un des plus grands joueurs de tous les temps, adulé et que l'on croyait à tort respecté par tous, a pu craquer comme il l'a fait aux yeux de la planète foot dans son ensemble dimanche, à Berlin, lors de la prolongation de la finale de la Coupe du monde. Trois jours durant lesquels la France, dans sa majorité, a apporté son soutien à Zinédine Zidane, quand certains se sont crus autorisés à faire le procès du meneur de jeu des Bleus. Trois jours qui ont vu Marco Materazzi, la « victime » du coup de tête du Français, exposé sa version des faits.

Mercredi, sur le plateau de Canal+, Zinédine Zidane est donc sorti de son silence et de sa retraite de joueur professionnel. Face à Michel Denisot, qu'il n'avait sans doute pas imaginé revoir après lui avoir confié il y a près de deux ans sa volonté de mettre fin à sa carrière internationale, le meilleur joueur de la Coupe du monde 2006, puisqu'il l'est jusqu'à nouvel ordre et malgré les menaces de Sepp Blatter, le Tricolore a accepté de revenir sur sa Coupe du monde (voir par ailleurs) et surtout sur cette sortie ratée.

"Des mots plus durs que les gestes..."

Cette finale, ce dernier match en carrière qu'il souligne avoir abordé "concentré comme tout grand match, parce que j'en avais besoin, de me retrouver en moi, dans ma bulle." Ce début de rencontre et cette ouverture du score, ce penalty, cette Panenka complètement folle dont il avoue qu'il la tentait pour la "première fois"! Non pas à droite du gardien, comme il en a l'habitude et comme il l'avait déjà fait en demi-finale face à Ricardo, le gardien portugais, mais bien à gauche parce qu'il y a Buffon en face, "un très grand gardien, qui peut l'arrêter (s'il) tire de la même façon." Et de lâcher: "Et puis je voulais que cela reste. Vous savez quand vous avez eu avant le match deux ou trois des personnes qui vous sont chères et qui vous disent de surtout profiter du moment à venir..."

Profiter pour lui et pour les siens, pour sa mère peut-être qui la veille de cette finale a été hospitalisé brièvement pour un léger malaise à la clinique de Vitrolles. Alors Zidane se donne, Zidane tente de faire la différence après que l'Italie a égalisé sur un coup de tête de Materazzi, comme sur cette tête, si parfaite, trop parfaite sans doute, suite à un centre de Willy Sagnol, que Buffon claque au-dessus de sa barre, et dont il n'avait pas encore revu les images: "Je la prends vraiment bien, j'aurais aimé la rater un peu plus..." Tout aurait pu être différent... Mais il faut jouer cette prolongation au bout d'un match durant lequel Zidane affirme qu'il n'existait "pas de contentieux avant (avec les Italiens) même s'il y avait des frictions avec des joueurs. C'est le jeu, c'est comme cela de toute façon depuis toujours, notamment dans une finale de Coupe du monde." Jusqu'à l'incident...

"C'est juste au moment où il y a ce tirage de maillot. Zidane pèse alors chacun de ses mots et poursuit: "Je lui dis de s'arrêter de me tirer le maillot. Que s'il le veut, je le change à la fin du match. Là il dit des mots, des mots qui sont très durs et il le répète plusieurs fois", ajoute Zidane. "Des mots qui sont parfois plus durs que les gestes. J'aurais préféré prendre une droite dans la gueule. C'est quelque chose qui, de toute façon, se fait très vite. Ce sont des mots qui me touchent au plus profond de moi." Ce qui touche Zidane, c'est bien évidemment la famille, même s'il se refusera à révéler avec précision la teneur des insultes proférées par Materazzi: "C'étaient des choses très personnelles. Cela touche à la maman, à la soeur. Vous les écoutez une fois, vous essayez de partir. C'est ce que je fais parce que je m'en vais en fait. Vous écoutez deux fois, et puis la troisième fois..."

"J'ai des enfants, je sais ce que c'est"

La troisième sera fatale au défenseur italien, mais plus encore à Zidane, conscient de l'impact de ces images qui ont fait le tour du monde: "Je m'en excuse auprès des enfants qui ont regardé cela. Mon geste n'est pas pardonnable (...) Bien sûr que ce n'est pas un geste à faire. Je tiens à le dire haut et fort parce que cela a été vu par deux-trois milliards de téléspectateurs et des millions et des millions d'enfants qui ont regardé cela. Auprès d'eux, auprès des éducateurs, je m'en excuse." Quant à la réaction de ses propres enfants, Zidane n'a pas attendu les donneurs de leçons de tous poils pour assumer ses actes devant ce qu'il a de plus cher: "J'ai des enfants, je sais ce que c'est, je leur dirai de ne jamais se faire marcher sur les pieds, mais un geste comme ça, c'est intolérable..."

Des excuses franches et sincères mais qui ne seront pas suivis de regrets. Là, Zidane adopte un ton ferme, catégorique: "Je ne peux pas regretter mon geste car cela voudrait dire qu'il avait raison de dire tout cela. Je ne peux pas, je ne peux pas, je ne peux pas dire cela. Et non, il n'a pas raison de dire ce qu'il a dit. Surtout pas, surtout pas..." L'enquête de la Fifa? Soucieux de faire entendre sa version des faits, Zidane ne s'y dérobera pas et interroge: "Est-ce que vous croyez, vous, dans une finale de Coupe du monde comme cela, alors que je suis à dix minutes de la fin de ma carrière, que je vais faire un geste comme cela parce que cela me fait plaisir? Ce que j'ai envie de dire c'est que l'on parle toujours de la réaction. Forcément elle est punissable et elle doit être punie. Mais s'il n'y a pas provocation, il ne peut pas y avoir une réaction. Il faut sanctionner le vrai coupable, et le coupable, c'est celui qui provoque."







ZIZOU

28/06/2006 19:20

ZIZOU


              

    

 

 

                                                      

 

 

 

 

             Allez les bleus on est sur d'allé en demi moi je dis 1-0 pour la FRANCE et vous??? lachez vos coms

     








et 1 et 2 et 3 a 1!!!!!

28/06/2006 14:13



Ribéry a mis le feu

28/06/2006 Par MICHAEL BALCAEN
De Sports.fr, à Hanovre
Franck Ribéry a réalisé une partie pleine face à l'Espagne (3-1). Véritable feu follet des Bleus, le milieu de terrain a encore fait parler la poudre. A l'image de l'équipe de France, il est très nettement monté en puissance, prenant confiance en lui à chaque apparition. En huitième de finale, il aura agrémenté sa prestation d'ensemble par un but d'une importance extrême. Une première réalisation sous le maillot national qui a en effet permis à l'équipe de France de remonter la pente avant de renverser totalement la vapeur.

Ribéry passe Casillas et s'en va marquer.Ribéry passe Casillas et s'en va marquer.
Un vrai détonateur. Après quelques minutes pour appréhender l'ampleur d'un huitième de finale de Coupe du monde, Franck Ribéry a repris ses bonnes habitudes, percutant à chaque instant pour tenter de déstabiliser la formation espagnole et Mariano Pernia en particulier. Ses dribbles, sa volonté d'aller de l'avant sans toutefois négliger les tâches défensives auront été particulièrement précieux. D'autant que cette fois, il a ajouté une nouvelle corde à son arc: un premier but en Bleu!

Une réalisation énorme alors que toute l'équipe de France avait eu du mal digérer l'ouverture du score de David Villa sur penalty. Sur le coup, Franck Ribéry a profité d'une ouverture de Patrick Vieira pour partir en profondeur, dribbler Iker Casillas et marquer dans le but vide malgré les retours de Carles Puyol et Mariano Pernia. "Ils jouaient le hors-jeu donc j'ai juste essayé de lui donné le ballon au meilleur moment et ensuite, il y a une super finition de sa part", explique le passeur, ravi de son coup.

"Ce but, je le mérite"

Un but qui aura donc été particulièrement bénéfique au moral des troupes et principalement pour le Marseillais lui-même qui avait été frustré jusque-là en manquant plusieurs opportunités franches lors de la première phase. "Ce but, je le mérite, à moi de continuer comme ça. Je n'avais pas su le mettre contre le Togo, celui-là nous a relancé juste avant la mi-temps. Ça a fait du bien pour tout le monde", jubile le premier buteur des Bleus. Voilà qui lui apportera sans aucun doute un surcroît de confiance pour la suite du tournoi même s'il assure que ses échecs passés devant le but n'ont pas compté: "Non, je ne me suis pas pris la tête car les gars m'ont parlé".

Sa grande force réside sans doute dans cette faculté à évacuer toute forme de pression, à la fois de l'environnement mais également celles liées à ses propres erreurs. Ne pas ressasser pour continuer à aller de l'avant, une façon de procéder qui fonctionne à merveille. D'autant que si le but reste l'élément émergent de sa soirée, il y a eu de nombreux autres éléments positifs notamment dans la conservation du ballon malgré la pression de plusieurs adversaires et dans sa propension à le ressortir proprement... Où encore une vision du jeu qui lui permettra par exemple de décaler Govou pour une frappe non cadrée.

Et puis, il y a cette faculté à ne jamais abandonner, à toujours donner le maximum. Ce fut le seul par exemple à poursuivre cet incroyable pressing en toute fin de rencontre. "On connaît ses qualités, il a 20 ans, il veut tout croquer et il n'a pas baissé de rythme en fin de match", confirme d'ailleurs Raymond Domenech. Le sélectionneur aura sans doute noté cette capacité à conserver le ballon pendant les arrêts de jeu. Du haut de ses sept sélections, Franck Ribéry fait déjà figure de vieux briscard...






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