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Créé le : 07/03/2006 20:37
Modifié : 05/02/2007 17:50

garçon (11 ans)
Origine : planète du PSG et dans le cul l'OM
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PSG -OM le CHOC!!!!!!!!!

09/09/2006 16:34



                                                                                                               

 

 

 

 

 






le duels Pauleta C.Ronaldo

07/09/2006 19:25



                                                                                                                                                                                              

 

 

 

 








07/09/2006 19:12



Ils ont mis le feu !!!!

 
Ce sont des joueurs de l'équipe de France particulièrement satisfaits qui ont pris le temps de commenter après le match leur victoire 3-1 mercredi soir face à l'Italie en éliminatoires de l'Euro 2008. Si certains, à l'instar de Thierry Henry, refusaient toujours de parler de revanche de la finale de la Coupe du monde, tous se félicitaient d'avoir battu les champions du monde, qui plus est avec la manière. D'autant que d'un point de vue comptable, la Squadra est déjà reléguée à cinq points...

Sagnol, Abidal, Vieira, Makelele, heureux!Sagnol, Abidal, Vieira, Makelele, heureux!
Un stade en fusion, ce qui est plutôt rare au Stade de France, trois buts tous inscrits sur des phases de jeu, des champions du monde pris à la gorge et logiquement battus, les 78.831 spectateurs présents mercredi dans les tribunes dyonisiennes (moins les quelques milliers de Transalpins) avaient tout lieu de sortir de leur soirée heureux, fiers de la performance d'une équipe de France qui a donc poursuivi sur sa lancée de son succès à Tbilissi, en y mettant encore une fois la manière.

Ce sentiment de plénitude était largement partagé à l'issue de la rencontre par les protagonistes du match, Thierry Henry rappelant au passage que la victoire en Géorgie n'était pas aussi anecdotique qu'on avait pu le croire (l'Ukraine a d'ailleurs éprouvé toutes les peines du monde à dominer les coéquipiers d'Arveladze, seulement batttus 3-2 mercredi à Kiev): "Contre la Géorgie, les gens ont pu penser que c'était un match facile, mais on a fait le même match contre l'Italie."

A savoir un match où tout le monde "a défendu et joué ensemble", pour reprendre les mots de celui qui a inscrit, avec l'aide involontaire de Cannavaro, le premier but de sa saison, mais surtout un match au cours duquel Raymond Domenech a senti "une équipe sûre d'elle, sereine. Dans la maîtrise technique, il y a quelque chose en plus. Tout le monde se sent bien, avec un jeu très fluide, technique. Ce qui a rendu un match très plaisant, très accompli." Même si, à l'évidence, les Italiens, tenus en échec quatre jours plus tôt par la Lituanie à Naples (1-1), étaient un peu courts physiquement (la Serie A ne reprend que ce week-end), les Bleus ont livré une de leurs performances les plus accomplies sous l'ère Domenech, ce dernier reconnaissant sans peine qu'on "n'était pas loin du match parfait".

Henry: "On s'appuie sur quelque chose, ça aide"

Grâce à leur maîtrise technique, à la santé impressionnante du duo Vieira-Makelele (est-ce vraiment une bonne idée de vouloir arrêter?), insolent de facilité physique et technique, aux percussions incessantes devant de Franck Ribéry, Florent Malouda et Thierry Henry, à l'apport des latéraux (Sagnol, passeur décisif sur le troisième but), l'animation offensive des Bleus, leur point faible pendant les matches de qualification, a été proche de la perfection, chaque joueur reconnaissant que contre l'Italie, l'équipe de France a ajouté "la manière" au résultat. Pourquoi? D'abord parce que physiquement, tous étaient au diapason: "On a vu des joueurs qui n'étaient pas tous prêts il y a deux-trois semaines et sont montés en puissance", explique ainsi Thierry Henry qui donne ensuite la vraie clé de cette réussite: "Avant, on n'avait pas de vécu, là il y a un vécu, on s'appuie sur quelque chose, ça aide."

Lilian Thuram, désormais 123 sélections au compteur, ajoute: "L'équipe de France suit son chemin, elle a progressé depuis le Mondial." Dans ce climat de confiance et de sérénité, chaque joueur trouve matière à s'exprimer: une nouvelle fois, les derniers arrivés, Franck Ribéry et Florent Malouda ont évolué comme des poissons dans l'eau, tandis que Greg Coupet a été décisif sur sa ligne (quelles parades face à Semioli et Cannavaro!), l'illustration la plus frappante étant bien évidemment les deux buts de l'appelé de dernière minute, Sidney Govou. Titularisé à la place de Louis Saha, celui qui n'avait jusqu'ici qu'un match de CFA dans les jambes (avec un doublé prémonitoire à la clé...) a inscrit deux buts d'avant-centre, d'une belle reprise de volée du droit et d'une tête au point de penalty. "C'est la preuve qu'il y a beaucoup de joueurs de très haut niveau en équipe de France, il a marqué deux buts, c'est très bon pour la confiance", se réjouissait Lilian Thuram, tandis que Thierry Henry voyait dans les deux buts du Lyonnais, mais également dans celui de Saha en Géorgie et les deux passes de Ribéry toujours à Tbilissi "la force d'un groupe".

Gallas: "On avait à cœur de prendre notre revanche"

Raymond Domenech buvait quant à lui du petit lait, heureux de constater que son choix s'était avéré payant: "Je n'avais pas d'inquiétudes à son sujet, on sait comment les joueurs sont préparés à Lyon avec Robert Duverne. Il avait faim, envie, comme les autres. Tout le monde a été au diapason de cette équipe qui tourne." Qui tourne et avait une motivation supplémentaire de battre l'Italie, deux mois après sa cruelle défaite aux tirs au but à Berlin. Si Thierry Henry, comme il n'a cessé de le répéter ces derniers jours, refusait toujours de voir une "saveur particulière" dans cette victoire ("On n'a pas gagné la Coupe du monde, on n'a pas la médaille d'or, il fallait prendre trois points, c'est tout"), d'autres se montraient moins pudiques sur la question, à l'instar de William Gallas, une nouvelle fois impérial en défense. "Ça fait plaisir de battre les champions du monde, c'est forcément un match différent quand on rencontre les champions du monde. On avait à cœur de prendre notre revanche car on a perdu la finale."

Même Raymond Domenech, qui n'avait jusqu'ici insisté que sur les trois points à prendre, reconnaissait la portée symbolique de ce succès: "Battre le champion du monde, c'est quelque chose de plus. En deux mois, on a battu les deux champions du monde, le Brésil et l'Italie. On ne peut qu'être satisfaits". A double titre, puisque voilà donc l'Italie, l'un des favoris du groupe B avec la France et l'Ukraine, déjà reléguée à cinq points. "C'est bien d'engranger des points le plus tôt possible", savourait Thierry Henry, Raymond Domenech évoquant une "vraie bonne nouvelle". Bref, à l'instar de Lilian Thuram, dont le bonheur a été un peu gâché par la polémique naissante sur l'affaire des invitations adressées aux sans-papiers de Cachan (voir par ailleurs), les Bleus ont vécu "une très bonne soirée". Nous aussi...






06/09/2006 20:11



Forcément brûlant !

 Deux mois à peine sont passés depuis la finale de Berlin, si cruelle pour les Bleus face à l'Italie, et déjà les chemins des deux sélections se croisent de nouveau mercredi au Stade de France (en direct sur notre site dès 21h) dans le cadre des éliminatoires pour l'Euro 2008. Une nouvelle aventure, une nouvelle histoire pour les deux nations et pourtant, la proximité de l'événement, le contentieux et les propos polémiques des Transalpins avant la rencontre sont de nature à réchauffer des braises à peine éteintes.

Abidal, Thuram et les Bleus retrouvent la Squadra Azzurra. Abidal, Thuram et les Bleus retrouvent la Squadra Azzurra.
Trois points et rien d'autre: tous les joueurs de l'équipe de France n'ont que ce chiffre à la bouche avant de retrouver mercredi, dans leur jardin du Stade de France, l'épouvantail italien qui, même s'ils s'en défendent, aura hanté leurs nuits d'été. A entendre Patrick Vieira et ses coéquipiers, la perspective de ce remake de la finale de la dernière Coupe du monde, disputée à Berlin, le 9 juillet dernier, et perdue par les Bleus, n'évoque qu'un objectif comptable, celui d'un carton plein après la solide ouverture en Géorgie (3-0).

Sans doute, mais il règne autour de ces retrouvailles un climat trop brûlant pour que Raymond Domenech et ses joueurs pénètrent mercredi sur la pelouse de Saint-Denis hermétiques et sans laisser prise à l'histoire encore fraîche de ce duel majuscule. La finale du dernier Mondial, c'était hier et pas un seul des acteurs de ce match pour le titre suprême n'a pu oublier le scénario de cette rencontre achevée au bout de la nuit berlinoise sur la tentative manquée de David Trezeguet lors de l'irrespirable séance de tirs au but. Et si les Italiens, comblés par la conquête d'un quatrième titre mondial, se replongent à l'envi dans ce doux souvenir, les Tricolores apprennent depuis à vivre avec cette idée qui, comme l'a dit Lilian Thuram ces derniers jours, voudrait que "le meilleur ce soir-là n'a pas gagné."

Domenech: "On ne peut que féliciter les Italiens..."

Comme une preuve, si besoin en était, que les joueurs de cette équipe de France, dont l'ossature reste pour l'essentiel la même qui s'est inclinée à Berlin, entretiennent une profonde frustration. Que la cohabitation dans ce groupe éliminatoire de l'Euro 2008 avec les Italiens pourrait, à défaut de l'effacer, finalement permettre d'expier. "Cette finale, on l'aura en mémoire, consent Domenech. On ne peut pas oublier qu'il y a eu une finale le 9 juillet. On ne peut que les féliciter. Maintenant, on joue un Championnat d'Europe... Le passé est derrière nous, aussi bien 2006 que 2000, 1998 ou 1938." Une nouvelle aventure en somme qui doit offrir à Makelele, que Domenech entend bien aligner face aux Transalpins, et consorts, qui pour la plupart n'ont même pas déballé le DVD de l'épopée mondialiste qui leur a été remis dimanche, l'occasion de dépasser leur déception.

Une autre histoire que le contentieux autour de l'affaire Zidane-Materazzi ne viendra qu'indirectement polluer. Le meneur de jeu tricolore à la retraite, la victime du célèbre coup de boule ne viendra pas « attiser » la rancœur du public français à son égard, la Fifa ayant choisi de le suspendre pour l'occasion. Le défenseur de l'Inter Milan aurait pu se faire discret mais l'individu, en expert ès-provocation qu'il est, a cru bon de réchauffer l'ambiance, comme si celle-ci en avait besoin, en révélant la teneur de ses fameuses insultes et en réclamant... les excuses de Zidane.

Dans ce contexte, c'est toute la Squadra Azzurra, ou presque, qui s'est mise en tête de rallumer le feu qui couvait, à l'image d'un Gennaro Gattuso: "Quand nous avions perdu l'Euro 2000 à dix secondes de la fin (défaite 2-1, but en or), nous n'avions pas fait tout cette polémique. C'est vrai que nous sommes habitués à l'avoir mauvaise après les défaites, mais, eux, encore plus. Et, en cela, l'Italie est deuxième derrière la France". Les Bleus apprécieront...

L'Italie à cinq points?

Reste un match qui, après la déconvenue surprise de l'équipe de Roberto Donadoni, apparue physiquement en retard samedi à Naples, face à la Lituanie (1-1), doit permettre à l'équipe de France de repousser d'ores et déjà leur adversaire direct pour la qualification à cinq points au classement, un break qui, dans un groupe aussi relevé, pourrait s'avérer déjà décisif. "Cette qualification se jouera sur les points perdus contre les équipes qui n'en prennent pas beaucoup. Il ne faudra pas perdre les matches que les autres gagneront. Nous, on sait désormais ce que l'on peut faire. A nous de le montrer sur le terrain. On a l'occasion de le montrer contre les champions du monde, la seule équipe qui est au-dessus de nous pour l'instant. On a envie de prouver qu'on peut rivaliser. C'est une source de motivation. En général, elle s'exerce contre nous."

Mais pour cela, Raymond Domenech réclame encore plus à ses joueurs que la seule victoire en Géorgie, simple point de départ, et les met en alerte sur "les signes de relâchement et d'auto-satisfaction" aperçus en seconde période à cette occasion. "A 3-0, il faut faire plus d'efforts. C'est là que l'on peut encore progresser..."





petite photo pour les filles!

06/09/2006 15:16



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