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25/05/2006 10:23
Samuel ETO'O ambasadeur de la paix
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25/05/2006 10:20
Irremplaçable Landreau ?
03/05/2006 Par SYLVAIN LABBE De Sports.fr Consulter aussi: Mardi: Les verts dans le flou
Alors que l ex-gardien du FC Nantes vaetre accompagné de AMARA DIANE et du girondin DARCHEVILLE qui été aperçu mardi dans la capitale pour y passer la traditionnelle visite médicale préalable à son transfert au PSG, les Canaris se sont mis en chasse de l'oiseau rare capable d'assurer la succession de Mickaël Landreau dans la cage nantaise. Tout sauf une sinécure tant ce dernier tient un rôle important sur comme en dehors du terrain en Loire-Atlantique. Si le Bastiais Penneteau semble avoir le profil requis, le flou ambiant quant à l'avenir du club n'arrange rien à l'affaire.
Landreau va laisser un grand vide à la Beaujoire...
La scène se déroulait dimanche à Nantes dans une boîte de nuit nommée le Cookoo, dont le patron n'est autre qu'un certain Christian Karembeu. Au retour d'un match nul (1-1) à Monaco, Mickaël Landreau, le capitaine nantais, y avait invité près de six cents personnes pour ce qu'il convient évidemment d'appeler une soirée d'adieux. A deux journées de la fin du championnat, le portier canari pouvait bien dimanche, dans les vestiaires de Louis-II, souligner la nécessité pour le FCNA de bien finir la saison dès samedi prochain, à la Beaujoire, à l'occasion du derby de l'Atlantique face à Bordeaux, il ne fait désormais plus aucun doute que Landreau jouera à Paris la saison prochaine.
Mardi, selon une information rapportée par le quotidien Le Parisien, l'intéressé était même aperçu dans la capitale pour y satisfaire, du côté de la Clinique du Sport, à la traditionnelle visite médicale, préalable à la signature et l'officialisation de son contrat de quatre ans avec le PSG. S'il mettra évidemment un point d'honneur à vouloir briller une dernière fois devant son public samedi face aux Girondins, Landreau, à 26 ans et après dix ans de fidélité indéfectible au FCNA, son seul club à ce jour, a déjà tourné la riche page nantaise. Les Canaris aimeraient en dire autant...
Penneteau, ça coince...
Car si le deuil de l'emblématique gardien mettra du temps du côté des supporters, les dirigeants nantais, même s'ils se sont d'ores et déjà mis sur la piste du successeur de Landreau, n'ignorent rien de la difficulté de la tâche. On ne remplace pas d'un claquement de doigt une figure pareille, leader jamais démenti, poumon de tout un vestiaire et de tout un club durant toute une décennie.
Entre amis, famille et personnels du club, une absence marquait dimanche la sauterie organisée en l'honneur du portier international, celle de Rudy Roussillon. L'histoire ne dit pas si le président nantais était retenu par la recherche de l'oiseau rare censé assumer le lourd héritage de Landreau dans le but nantais. Toujours est-il que cette quête n'a rien d'une sinécure. Par son profil, le jeune portier manceau, Yohann Pelé, auteur à 23 ans d'une première saison dans l'élite remarquable et remarquée, au point d'être sans doute un peu précipitamment bombardé outsider pour une chance internationale, semblait pouvoir être l'homme de la situation. Une ambition vite oubliée face à la concurrence de rivaux tels qu'Arsenal...
Après avoir envisagé deux pistes étrangères, celles du Camerounais de l'Espanyol Barcelone, Carlos Idriss Kameni, finalement trop cher, et celle du jeune Serbe Alexandre Stojkovic, portier de l'Etoile Rouge de Belgrade, plus aléatoire, le FCNA avait jeté son dévolu sur le Bastiais Nicolas Penneteau. A 25 ans, l'international espoir, par son parcours et ses états de service impeccables tant en L1, où il compte 145 matches sous les couleurs du Sporting, qu'en L2 cette saison, donnait de sérieuses garanties. D'autant plus que le portier corse, auquel il reste un an de contrat sur l'île de Beauté, peu disposé à vivre une nouvelle saison à l'étage inférieur, s'est déclaré très intéressé par la proposition nantaise. On ne peut pas en dire autant de ses dirigeants. Et c'est bien là que le bât blesse. Bastia réclamerait un peu moins de deux millions d'euros là où les Canaris ne seraient prêts à débourser qu'1,2 millions d'euros. Un blocage d'autant plus gênant que Lens, qui pourrait perdre Samuel Itandje promu quatrième gardien dans la hiérarchie nationale et dont la cote a monté en flèche, se serait positionné sur le cas Penneteau.
Le successeur de Landreau n'a pas encore atterri à la Jonelière, loin s'en faut. Et la rumeur du début de semaine faisant état d'un possible désengagement de Dassault vis-à-vis du FCNA, en complète contradiction avec les propos rassurants de Roussillon en mars dernier, n'arrange rien à l'affaire...
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25/05/2006 10:15
Marseille le bec dans l'eau
De Sports.fr Alors que RIBERY a été demandé au PSG l'Olympique de Marseille aura rêvé de Ligue des Champions. Mais après un ultime échec à Bordeaux (1-1), c'est la modeste Coupe Intertoto qui tend les bras aux Phocéens. Une déception de taille pour un OM qui ne sait pas encore comment gérer cette ouverture vers une hypothétique place européenne. Au soir de cette 38e journée, la déception prime sur tout autre sentiment. Et pour cause, malgré l'expulsion de Meïte, Marseille avait eu les ressources pour marquer. Pendant dix minutes, l'OM a tenu sa 3e place...
Chamakh s'échappe et l'OM cède sur le tard...
"C'est une saison compliquée..." Pour son dernier match avec l'OM, Fabien Barthez espérait sans doute une toute autre issue. "On a fait 61 matches dans un club assez particulier, avec une énorme pression puisque nous sommes attendus tous les week-ends", justifie le portier de l'équipe de France pour expliquer le manque de régularité de son équipe. Pour cet ultime rendez-vous de la saison, l'OM est en effet passé par tous les sentiments. Pendant de longues minutes, les Marseillais ont dominé les débats face à des Girondins de Bordeaux clairement mis sur la défensive.
Après une entame de match marquée par plusieurs occasions franches, avec notamment un coup franc de Taiwo à l'entrée de la surface, le danger a pris une ampleur évidente avec un penalty en faveur de l'OM à la suite d'une faute de Jurietti sur Niang. Comme un symbole, c'est Franck Ribéry, dont le cas prête à commentaires depuis l'annonce de velléités lyonnaises, qui prend ses responsabilités. Et comme un symbole, celui-ci va flancher dans un exercice qui n'aura décidément pas réussi à Marseille cette saison. Maudite irrégularité qui s'entête à pourrir la vie des hommes de Jean Fernandez. Finalement, à chaque fois que l'OM aura été en mesure de se positionner pour une place en Ligue des Champions, un rouage est venu gripper la machine...
De la C1 à l'Intertoto...
Une logique malheureusement confirmée. D'autant qu'à cet instant de la rencontre, si la troisième place reste un objectif, avec les succès de Lens et Auxerre, c'est sur le septième strapontin que les Phocéens sont assis. A la pause, si Lille est mené à Rennes, cela ne modifie pas totalement la donne puisque sans victoire l'OM ne verra pas la Ligue des Champions. L'expulsion de Abdoulaye Meïte ne vient évidemment pas arranger les affaires marseillaises. Et pourtant, contre toute attente, Toifilou Maoulida vient donner l'avantage à son équipe (1-0, 76e).
Un véritable coup de tonnerre qui trouve une résonance jusque dans le Nord de la France car à ce moment, Lille, mené à Rennes (1-2) n'est plus troisième... Pendant dix minutes, tout Marseille va rêver de Ligue des Champions. Pendant dix minutes seulement car l'égalisation lilloise va redonner le précieux sésame aux Nordistes. Et pour clore définitivement le sujet, Chamakh va égaliser à seulement deux minutes du terme. Un but égalisateur qui va bouter l'OM de la quatrième à la cinquième avec pour conséquence directe le passage de l'UEFA à l'Intertoto.
Le scénario est idéal pour les Nordistes avec Lille au tour préliminaire de la Ligue des Champions et Lens en Coupe de l'UEFA. A Marseille, la pilule va sans doute mettre un peu de temps pour passer. "Je suis déçu, consent Jean Fernandez sur le site officiel de l'OM. On est 5ème et on va réfléchir à l'Intertoto qui se déroule maintenant en deux tours aller-retour. Ça reste des matches compliqués en plein mois d'août." On l'aura compris, Marseille déjà passé par la case Intertoto cette saison et qui l'avait payé très cher, va sans doute y réfléchir à deux fois avant de replonger. Quitte à se passer pendant une saison d'Europe. Pour mieux rebondir...
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25/05/2006 10:09
Ribéry au PARIS SG ou a l'OL
11/05/2006 Par AXEL CAPRON De Sports.fr Consulter aussi: Mercredi: Ribéry, le sujet de la discorde
Le feu couve à Marseille! Alors que les dirigeants olympiens ont toujours clamé que Franck Ribéry était "intransférable", l'agent du joueur a affirmé mercredi avoir rencontré le patron de Lyon Jean-Michel Aulas à Saint-Tropez, ouvrant la porte à d'éventuelles discussions. Une manière déguisée de faire monter les enchères et de pousser les responsables marseillais à offrir de meilleures conditions à celui qui espère toujours aller au Mondial 2006. Inutile de dire que du côté de l'OM, on n'apprécie guère...
Ribéry, le coeur à Marseille ?
Le PARIS SG a contacter Franck Ribéry. Sur le terrain, où ses dribbles et ses accélérations rendent souvent fous les défenseurs accrochés à ses basques, mais aussi en dehors où son caractère impulsif peut parfois lui jouer des tours, comme ce fut récemment le cas avec un supporter lors du retour de l'équipe marseillaise de sa finale de Coupe de France perdue face au Paris-SG (2-1). Voilà maintenant que c'est son agent qui se charge de mettre le feu autour de lui!
Alors que mardi, l'ex-joueur de Galatasaray, arrivé l'an dernier à Marseille dans des conditions houleuses sur fond de conflit entre agents, avait confirmé son attachement à l'OM, tout en semblant un peu gêné aux entournures face à l'insistance de la presse sur son avenir, son représentant Bruno Heiderscheid a effectué en un peu plus de 24 heures une spectaculaire volte-face. Mercredi dans les colonnes de L'Equipe, sa mise au point sonnait comme la volonté d'enterrer d'entrée ce qui pourrait devenir le feuilleton de l'été: "Il faut être clair. Franck a un contrat de quatre ans, on n'est pas venus pour faire un petit tour et puis partir. On n'envisage pas un départ."
Dans la soirée sur les ondes de RTL, appelé à confirmer ou non une éventuelle rencontre avec le président de l'Olympique Lyonnais, Jean-Michel Aulas, à Saint-Tropez (où se trouvait le groupe lyonnais au grand complet pour fêter le cinquième titre de champion de France), le discours avait radicalement changé de tonalité: "M. Aulas a raison. Je l'ai rencontré aujourd'hui et hier. Lyon a des arguments à faire valoir. Même si l'OM est un grand club, aujourd'hui, on ne peut pas dire à l'OL: On ne vous écoute pas. Ce serait insensé. Franck a un contrat de quatre ans. Si l'OM veut le conserver - et c'est sincèrement son souhait et le mien aussi -, il va falloir que le club fasse de sérieux efforts." A bon entendeur, salut !
Aulas ravive la polémique
Comment expliquer ce brutal retournement de situation ? Il y a d'abord l'attitude de Jean-Michel Aulas, dont on connaît suffisamment le sens politique pour ne pas y voir une manœuvre de déstabilisation de l'OM. Quelques heures avant la sortie médiatique de Bruno Heiderscheid, la patron de l'OL s'était plu à raviver la polémique naissante en affirmant devant les caméras d'OL-TV: "Ce n'est pas mettre l'OM dans l'embarras de dire cela, mais Ribéry est un excellent joueur qui a une chance d'être sélectionné en équipe de France pour le Mondial. Nous avons discuté avec son agent et il pourrait être intéressé." Lyon veut-il réellement Ribéry ? On en doute, la priorité du club allant d'abord au recrutement d'un attaquant haut de gamme qui a tant fait défaut face au Milan AC en quarts de finale de la Ligue des champions, voire à un milieu défensif si Diarra venait à partir.
D'autant que le joueur étant lié à Marseille jusqu'en 2010, il en coûterait sans doute un paquet de millions d'euros aux éventuels acheteurs. L'agent de Ribéry aurait-il alors mordu à l'hameçon tendu par Jean-Michel Aulas en se montrant subitement beaucoup plus gourmand vis-à-vis de l'OM ? C'est bien évidemment la thèse défendue du côté de la Commanderie où on rappelle que le contrat du joueur vient d'être prolongé avec revalorisation salariale à la clé. Joint par L'Equipe mercredi, Pape Diouf n'a pu réfréner quelques phrases bien senties à l'égard du représentant de Ribéry: "Qu'il sache que les arrivées et les départs à l'OM, ça ne se traite pas dans la rue ni dans une station balnéaire."
Quant à Jean-Michel Aulas, déjà copieusement «arrosé» par José Anigo la veille, il en prend une nouvelle fois pour son grade: "Aulas et sa clique s'agitent, c'est un classique, ils font ça tous les ans. Aulas veut Ribéry ? Je dis OK en échange de Cris et Juninho et je réfléchis afin de savoir si je ne demanderai pas un complément financier." Bref, alors que le marché des transferts est sur le point de s'ouvrir, il s'annonce déjà brûlant. Quant à Ribéry, on ne lui conseillerait que trop à trois jours de l'annonce par Raymond Domenech de la liste des 23 pour la Coupe du monde 2006 de garder une prudente réserve, tout le tintamarre fait autour de son éventuel départ ne pouvant que jouer contre lui...
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25/05/2006 10:07
Ribéry ouvre une porte
11/05/2006 Par AXEL CAPRON De Sports.fr Consulter aussi: Mercredi: Ribéry, le sujet de la discorde
Le feu couve à Marseille! Alors que les dirigeants olympiens ont toujours clamé que Franck Ribéry était "intransférable", l'agent du joueur a affirmé mercredi avoir rencontré le patron de Lyon Jean-Michel Aulas à Saint-Tropez, ouvrant la porte à d'éventuelles discussions. Une manière déguisée de faire monter les enchères et de pousser les responsables marseillais à offrir de meilleures conditions à celui qui espère toujours aller au Mondial 2006. Inutile de dire que du côté de l'OM, on n'apprécie guère...
Ribéry, le coeur à Marseille ?
Franck Ribéry est un joueur imprévisible. Sur le terrain, où ses dribbles et ses accélérations rendent souvent fous les défenseurs accrochés à ses basques, mais aussi en dehors où son caractère impulsif peut parfois lui jouer des tours, comme ce fut récemment le cas avec un supporter lors du retour de l'équipe marseillaise de sa finale de Coupe de France perdue face au Paris-SG (2-1). Voilà maintenant que c'est son agent qui se charge de mettre le feu autour de lui!
Alors que mardi, l'ex-joueur de Galatasaray, arrivé l'an dernier à Marseille dans des conditions houleuses sur fond de conflit entre agents, avait confirmé son attachement à l'OM, tout en semblant un peu gêné aux entournures face à l'insistance de la presse sur son avenir, son représentant Bruno Heiderscheid a effectué en un peu plus de 24 heures une spectaculaire volte-face. Mercredi dans les colonnes de L'Equipe, sa mise au point sonnait comme la volonté d'enterrer d'entrée ce qui pourrait devenir le feuilleton de l'été: "Il faut être clair. Franck a un contrat de quatre ans, on n'est pas venus pour faire un petit tour et puis partir. On n'envisage pas un départ."
Dans la soirée sur les ondes de RTL, appelé à confirmer ou non une éventuelle rencontre avec le président de l'Olympique Lyonnais, Jean-Michel Aulas, à Saint-Tropez (où se trouvait le groupe lyonnais au grand complet pour fêter le cinquième titre de champion de France), le discours avait radicalement changé de tonalité: "M. Aulas a raison. Je l'ai rencontré aujourd'hui et hier. Lyon a des arguments à faire valoir. Même si l'OM est un grand club, aujourd'hui, on ne peut pas dire à l'OL: On ne vous écoute pas. Ce serait insensé. Franck a un contrat de quatre ans. Si l'OM veut le conserver - et c'est sincèrement son souhait et le mien aussi -, il va falloir que le club fasse de sérieux efforts." A bon entendeur, salut !
Aulas ravive la polémique
Comment expliquer ce brutal retournement de situation ? Il y a d'abord l'attitude de Jean-Michel Aulas, dont on connaît suffisamment le sens politique pour ne pas y voir une manœuvre de déstabilisation de l'OM. Quelques heures avant la sortie médiatique de Bruno Heiderscheid, la patron de l'OL s'était plu à raviver la polémique naissante en affirmant devant les caméras d'OL-TV: "Ce n'est pas mettre l'OM dans l'embarras de dire cela, mais Ribéry est un excellent joueur qui a une chance d'être sélectionné en équipe de France pour le Mondial. Nous avons discuté avec son agent et il pourrait être intéressé." Lyon veut-il réellement Ribéry ? On en doute, la priorité du club allant d'abord au recrutement d'un attaquant haut de gamme qui a tant fait défaut face au Milan AC en quarts de finale de la Ligue des champions, voire à un milieu défensif si Diarra venait à partir.
D'autant que le joueur étant lié à Marseille jusqu'en 2010, il en coûterait sans doute un paquet de millions d'euros aux éventuels acheteurs. L'agent de Ribéry aurait-il alors mordu à l'hameçon tendu par Jean-Michel Aulas en se montrant subitement beaucoup plus gourmand vis-à-vis de l'OM ? C'est bien évidemment la thèse défendue du côté de la Commanderie où on rappelle que le contrat du joueur vient d'être prolongé avec revalorisation salariale à la clé. Joint par L'Equipe mercredi, Pape Diouf n'a pu réfréner quelques phrases bien senties à l'égard du représentant de Ribéry: "Qu'il sache que les arrivées et les départs à l'OM, ça ne se traite pas dans la rue ni dans une station balnéaire."
Quant à Jean-Michel Aulas, déjà copieusement «arrosé» par José Anigo la veille, il en prend une nouvelle fois pour son grade: "Aulas et sa clique s'agitent, c'est un classique, ils font ça tous les ans. Aulas veut Ribéry ? Je dis OK en échange de Cris et Juninho et je réfléchis afin de savoir si je ne demanderai pas un complément financier." Bref, alors que le marché des transferts est sur le point de s'ouvrir, il s'annonce déjà brûlant. Quant à Ribéry, on ne lui conseillerait que trop à trois jours de l'annonce par Raymond Domenech de la liste des 23 pour la Coupe du monde 2006 de garder une prudente réserve, tout le tintamarre fait autour de son éventuel départ ne pouvant que jouer contre lui...
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