|
| Accueil |
Créer un blog |
Accès membres |
Tous les blogs |
Meetic 3 jours gratuit |
Meetic Affinity 3 jours gratuit |
Rainbow's Lips |
Badoo |
[ coupe de la ligue et coupe de france ] [ Calif Euro 2008 et le monde des Bleus ] [ Info expres ,PSG ] [ Les duels de foot ] [ L1 - L2 et vidéo ] [ Ligues des champions et Coupe de l'UEFA ] [ Photo L1,L2 et perso ]
|
|
|
|
12/09/2006 19:12
Avec PAPIN ça va déjà mieu!!!!
Strasbourg-Châteauroux: Le match à la loupe
Hôte de Châteauroux lundi soir en clôture de la 7e journée de Ligue 2, le Racing Club de Strasbourg n'a pas laissé l'occasion de se rapprocher du podium en infligeant logiquement sa première défaite de la saison à son adversaire (2-0) grâce à deux but de Tum et Rangelov. Ce succès permet aux hommes de Jean-Pierre Papin de passer devant leur victime du jour, au cinquième rang, à quatre points du leader, Grenoble, vainqueur vendredi de Gueugnon (2-1), et de Metz, auteur d'un nul 0-0 jeudi à Caen.
Abdessaki a pris le dessus sur Ateba.
2-0, c'est le tarif maison à la Meinau! Après Montpellier et Guingamp, repartis d'Alsace avec deux buts dans la musette, c'est au tour de Châteauroux de connaître pareil sort face à une formation strasbourgeoise qui n'a pas volé son succès, même s'il lui a fallu deux erreurs individuelles de ses adversaires pour marquer. L'essentiel est bien évidemment dans le résultat, Jean-Pierre Papin ne faisant pas la fine bouche au micro d'Eurosport à l'issue d'une partie que ses troupes ont maîtrisée: "On a eu beaucoup d'occasions, le premier but est peut-être venu trop vite, mais les joueurs ont fait un gros match, je suis content pour eux. On a encore des progrès à faire pour être plus efficaces, mais on est sur la bonne voie."
Voilà le Racing installé au cinquième rang, à égalité de points avec Châteauroux, sixième, ce qui était bien le but de cette chaude soirée. Décidé à ne pas perdre le contact avec les équipes de tête du classement, Strasbourg n'a pas eu le temps de trembler, se mettant immédiatement dans le bon sens de la marche avec d'entrée de jeu une passe dans l'axe d'Abdessaki pour Tum qui tire juste au-dessus (2e). Une alerte qui annonce l'ouverture du score, avec un ballon perdu par Ateba à 30 mètres de son but, dont profite Lacour pour lancer Tum qui, plein axe, trompe Fernandez d'une frappe croisée (10e). La Meinau ne pouvait rêver meilleure entame de la part de ses protégés, elle déchante vite, la suite de la première période ne lui donnant que rarement l'occasion de s'enflammer. Tout juste note-t-on une tentative mal cadrée de Perbet sur une sortie hasardeuse de Fernandez (33e) et un bon enchaînement de Gasmi sur une passe de Tum, avec à l'arrivée un tir rasant qui frôle le poteau droit castelroussin (45e).
La bourde de Fernandez
Et Châteauroux dans tout ça? Rien ou presque, en tout cas pas de quoi menacer un Cassard qui passe une soirée tranquille. Le début de seconde période confirme la domination alsacienne, concrétisée par une bonne occasion pour Tum qui, dans l'axe, s'infiltre entre deux défenseurs avant d'être contré au dernier moment par Bates (51e). Le Camerounais est dans tous les bons coups, puisqu'une minute plus tard, il reprend de peu au-dessus un centre au premier poteau de Gasmi (53e), avant deux occasions dans la même minute: pour Perbet qui reprend de façon acrobatique un très bon centre d'Abdessaki, puis pour Gasmi qui, à la sortie d'un bon mouvement collectif, croise trop sa frappe du gauche (58e).
La Berrichonne souffre de plus en plus, même si Bertin, dans une position inhabituelle pour lui de milieu devant sa défense, tente de se rappeler au souvenir de ses anciens supporters en étant le premier Castelroussin du match à tirer au but, au-dessus (61e). Le moment choisi par Cédric Daury, son coach, pour le faire reculer en défense, Ateba cédant sa place à une autre nouvelle tête dans l'effectif berrichon, Ahamada. Sans effet, puisque ce sont toujours les Alsaciens les plus remuants, notamment Tum dont la lourde frappe n'accroche pas le cadre (66e), pas plus que la tête sur un corner d'Abdessaki (71e). Même sort pour ce boulet de canon du gauche de Perbet qui rase la transversale d'un Fernandez soulagé (76e).
Peu à peu, les visiteurs s'enhardissent, à l'image de cette reprise de volée du gauche du meilleur buteur de Ligue 2, El-Jadeyaoui, juste à côté du but de Cassard, ou de ce centre d'Ahamada que manque de peu d'exploiter Blayac (78e). Du coup, Jean-Pierre Papin commence à s'énerver sur le banc, d'autant que Mouloungui, sur un contre, rate la balle de break de très peu (80e). Et c'est finalement le gardien castelroussin, Fernandez, qui donne un sacré coup de main à ses adversaires, en tentant un dribble devant Rangelov qui ne se laisse pas abuser et marque d'une difficile reprise de volée instantanée du coin de la surface dans le but vide (90e). Cette fois, la victoire strasbourgeoise est consommée !
| |
|
|
|
|
|
|
|
12/09/2006 19:06
OOOOUUUUUFFFFF!!!!!!!!!!!!!
Les Dogues n'ont pas tremblé. Vainqueurs 3-0 du match aller du troisième tour préliminaire de la Ligue des Champions face au Rabotnicki Skopje, les Lillois se sont tranquillement imposés en Macédoine mercredi soir au retour grâce à un but de la tête de Johan Audel (1-0) au terme d'une rencontre parfaitement maîtrisée. Les hommes de Claude Puel rejoignent ainsi l'Olympique Lyonnais et les Girondins de Bordeaux dans la plus prestigieuse des compétitions européennes, qu'ils disputeront pour la troisième fois en cinq ans.
Johan Audel (no 9), félicité par ses coéquipiers après son but de la tête.
Le Losc jouera bien au Stade Bollaert, l'antre du RC Lens. Au grand dam de certains supporters des Sang et Or, Lille s'est offert, en se qualifiant pour la Ligue des Champions mercredi soir, le droit d'évoluer lors de ses joutes européennes dans l'arène de son rival régional. Les hommes de Claude Puel ont en effet confirmé en Macédoine, lors de leur match retour du troisième tour préliminaire de la Ligue des Champions, leur victoire de l'aller (3-0) sur le Rabotnicki Skopje, en remportant une courte mais précieuse victoire (1-0).
Malgré ses déclarations d'avant-match affirmant que Skopje n'était pas un adversaire à prendre à la légère, Claude Puel avait décidé de présenter un onze de départ inhabituel. Odemwingie et Bastos, deux des buteurs du match aller, étaient par exemple laissés sur le banc. Surtout, Malicki remplaçait dans les cages Sylva, qui payait peut-être là sa bourde face au PSG en championnat. Le gardien numéro deux du Losc fut d'ailleurs le premier à s'illustrer en relâchant un ballon sur corner en début de match, créant un flottement dans sa surface.
Lille dans le chapeau numéro 2
Cette alerte fut la première et quasiment la dernière pour le Losc. Quelques minutes plus tard, sur un coup franc obtenu par un Youla intenable, Johan Audel reprenait victorieusement de la tête le centre de Tafforeau. Il restait alors 70 minutes à jouer, et Skopje devait alors marquer cinq fois pour se qualifier. Autant dire que la messe était dite, et que les Lillois pouvaient désormais jouer libérés. Dès lors, les Dogues posaient leurs pattes sur la rencontre. Il fallut d'abord un grand Pacovski pour empêcher que Youla, lancé en profondeur, ne double la mise, puis un drapeau levé pour hors-jeu invalidant le but de Makoun, pour que le score reste en l'état avant la pause.
Au retour des vestiaires, les Macédoniens repartaient pourtant au combat. Trajcov, sur une grosse frappe, puis Pejcic sur une reprise de volée mettaient Malicki à contribution. Mais ce sont bien les Lillois qui gardaient leur emprise sur la rencontre. Et il s'en fallut de peu pour qu'Audel, l'un des Nordistes les plus remuants du soir, ne signe le doublé, mais sa belle frappe de loin trouvait le poteau de Pacovski. Qu'importe, la victoire et la qualification étaient déjà acquises.
Avec la manière, le Losc rejoint donc Lyon et Bordeaux en Ligue des Champions, pour une troisième participation en cinq ans. Et comme un bonheur ne vient jamais seul, les Nordistes profitent de l'élimination de l'Ajax d'Amsterdam, battu 2-0 à domicile par le FC Copenhague, pour être reversé dans le chapeau numéro deux (le même que l'OL) lors du tirage au sort de la phase de poule, avec donc l'assurance d'hériter d'un groupe moins difficile. Les Lillois, ainsi que les autres clubs français, seront vite fixés sur leur sort: le tirage à lieu à Monaco ce jeudi 24 août, à 18 heures.
| |
|
|
|
|
|
|
|
12/09/2006 19:03
Bordeaux face à un mur!!!!
Six ans après leur dernière apparition au plus haut niveau européen, les Girondins de Bordeaux retrouvent la en direct sur notre site dès 20h45). Leurs ambitions malmenées par un début de saison poussif, Ricardo et ses hommes abordent profil bas leur premier rendez-vous européen, conscients de leurs limites du moment, encore étalées face à Nice, malgré la victoire (3-2), mais aussi persuadés que le contexte européen est de nature à les transcender.
Wendel, auteur de débuts tonitruants face à Nice, sera l'un des atouts girondins à Istanbul.
La scène a de quoi surprendre. Ricardo, dont on garde l'image du joueur que rien n'ébranle, tout à coup dans ses petits souliers au moment où, samedi soir, à l'issue de la victoire tirée par les cheveux de ses Girondins face à Nice (3-2), il est invité à traduire le sentiment sur la performance bordelaise de son ami Dunga, nouveau sélectionneur du Brésil, qui vient d'assister au match depuis les tribunes de Chaban-Delmas. Sourire crispé et gêné de l'ancien défenseur chargé de relayer le jugement à peine positif d'un nouveau patron de la Seleçao qui ne gardera sans doute pas un souvenir impérissable de son séjour en Gironde... On connaissait le Bordeaux ennuyeux mais plein de maîtrise, le voilà toujours soporifique mais en plus sans assurance.
Car en ce début de saison, Bordeaux, et sa défense (7 buts concédés en 5 matches), sont à la peine. Dauphins de l'intouchable ogre lyonnais la saison dernière, les Girondins abordaient cette nouvelle saison gonflés d'ambitions, prêts à renouveler leur performance et qui sait, même à tenter le crime de lèse-majesté, parvenir enfin à détrôner l'OL. Deux victoires sans le moindre but concédé lors des deux premières journées face à Toulouse (2-0), puis à Lorient (1-0) avaient conforté ce bel ensemble dans ses convictions, au point de mettre une sourdine aux mauvaises langues regrettant une campagne de recrutement plutôt discrète, à l'exception de Johan Micoud. Un tableau qui s'est sensiblement détérioré depuis le choc perdu (1-2) à domicile face à... Lyon. Comme une douche froide sur les espoirs bordelais.
Jemmali: "Retrouver notre équilibre"
Une claque (0-3) reçue à Lille plus tard, à peine rehaussée par la donc plus que poussive victoire (3-2) acquise samedi devant Nice, et Ricardo et ses joueurs affichent leurs doutes au grand jour. Certainement pas la meilleure façon de se préparer au grand retour du club, après trois ans d'absence sur la scène européenne, et six ans d'abstinence en Ligue des Champions, dans le gotha continental. Le système girondin, largement remanié à l'intersaison par Ricardo, tarde à trouver ses marques, ce dont David Jemmali convient le premier sur le site du club: "Nous avons changé de système, nous avons changé la défense. Il y a quelques paramètres qui entrent en compte. Mais si nous devons en prendre deux à chaque match et en mettre trois ou quatre, je signe! Mais c'est vrai que c'est rageant lorsqu'on est défenseur, surtout après la saison passée. C'est comme ça. Il va falloir retravailler, avec de nouveaux joueurs, avec de nouveaux postes. Nous devons travailler cette solidité."
Travailler sans doute mais le rythme effréné de la Ligue des Champions ne laisse que peu de place aux ajustements en profondeur, Jemmali qui reste un des rares joueurs de l'effectif à avoir connu la C1 avec Ulrich Ramé ou Johan Micoud après le titre de 1999, ne le sait que trop bien. Pourtant, le défenseur bordelais insiste sur la nécessité de recouvrer au plus vite ce fameux équilibre envolé: Il faut le retrouver, oui, car nous n'avons pas les mêmes joueurs. Il faut donc travailler pour retrouver cet équilibre. Moi je ne jouais pas à ce poste la saison passée, Franck a changé de côté. Tout cela se travaille.
Avant cela, il faudra négocier au mieux des débuts qui, comme à l'ordinaire en Turquie, s'annoncent brûlants du côté d'Istanbul. Au Stade Atatürk Olimpiyat, où Liverpool avait réussi son exploit de la finale 2005 face au Milan AC, devant 60 000 spectateurs, les Bordelais devront relever le défi d'un Galatasaray qui, s'il n'a plus l'aura de l'équipe qui avait surpris Arsenal en finale de la Coupe de l'UEFA 2000, reste un morceau de choix lorsqu'il évolue sur ses terres. "C'est ce qu'on dit, que Galatasaray c'est chaud, commente Jemmali à peine convaincu avant de poursuivre: Il faut faire abstraction de tout cela, ce n'est qu'un match de football." Un quelconque complexe serait en effet superflu car, si Bordeaux ne resplendit pas en ce début de saison, la situation du champion de Turquie n'a rien de plus enviable. "Cimbom" (surnom du club stambouliote), entraîné par le Belge Erik Gerets et emmené par l'attaquant vétéran Hakan Sükür, ménagé et absent pour ce match aller, et le Camerounais Rigobert Song, plafonne avec un bilan famélique en championnat d'une victoire pour quatre matches nuls!
Pas de quoi affoler des Bordelais qui, mardi, disputeront le 139e match européen de leur histoire, vingt et un ans après un premier passage par Istanbul. Un douloureux souvenir, cette année-là, Giresse et la fine équipe girondine avait subi la loi de Fenerbahçe (2-3, 0-0). Les Bordelais sont prévenus!
| |
|
|
|
|
|
|
|
OL REAL de MADRID le CHOC!!!!!!!!!!!
11/09/2006 18:54

|

OL - Real J-2
11/09/06 - 14:52
Florent Malouda : « Les compteurs sont remis à zéro »
Florent Malouda revient sur la victoire de l'OL devant Troyes. Il dresse également un bilan du début de saison des Lyonnais et évoque la rencontre qui les attend mercredi contre le Real Madrid.
Florent, quelle est votre analyse de la rencontre face à Troyes ? Nous avons réalisé l’essentiel. Il était important d’enfin gagner devant notre public après 3 victoires en déplacement. Cela nous permet de nous tourner sereinement vers ce match contre le Real Madrid.
Comment qualifieriez-vous votre début de saison ? Il s’agit d’un bon début de saison. A l’exception des deux points perdus contre Toulouse, le bilan comptable est bon. Nous avons réalisé un parcours presque sans faute. Pour palier les différences dans la préparation qui auraient pu nous handicaper durant ce début de saison, nous avons compensé par autre chose. Le coach avait évoqué le bleu de chauffe. On l’a enfilé durant ce mois d’aout. Nous allons désormais jouer pas mal de matchs. Ce qui compte, malgré toutes les difficultés rencontrées, c’est d’avancer et de jouer pour gagner les matchs. Dans quelques temps, nous les auront oubliées.
Pensez-vous que vous soyez en mesure d’assommer le championnat assez rapidement ? On ne peut pas parler d’assommer le championnat car Marseille est toujours devant nous. On conserve cela en tête. Nous n’en sommes qu’au début du championnat. On sait que l’on va entrer dans une période durant laquelle les points seront de plus en plus difficiles à obtenir. Le point positif c’est que ce qui est pris n’est plus à prendre. On a fait notre partie du boulot.
Avez-vous le sentiment que votre victoire face à Troyes fut un peu laborieuse ? Oui mais on s’y attendait. C’est souvent comme cela après les semaines internationales. Nous n’avons pas eu le temps de préparer la rencontre tous ensemble. L’essentiel fut assuré. Seule la victoire comptait. Avec ou sans la manière, l’important est d’avancer. On se tourne désormais vers le Real Madrid. La rencontre contre le Real c’est une autre compétition, une autre configuration.
Comment voyez-vous cette opposition face au Real ? Ce sera une belle opposition. Nous jouerons notre premier match de la compétition à domicile. On sait que dans ce type d’épreuve, le premier match est souvent capital. Ce sera donc bien entendu une belle affiche mais nous ne devons pas oublier que nous avons avant tout un grand besoin de points. C’est un autre championnat qui commence. Un championnat que nous devrons bien entamer.
Avez-vous plus de certitudes que l’an passé ? Non. Nous nous devrons d’aborder ce match comme la saison dernière, en les respectant sans les craindre. Cela s’était bien déroulé l’an passé. En entrant sur le terrain, il nous faudra oublier qu’il s’agit du Real, oublier le 3 à 0 et montrer une certaine détermination. Devant notre public, nous nous devrons de pénétrer sur la pelouse pour gagner. Les compteurs sont remis à zéro. Nous sommes un peu dans la même situation que celle que nous rencontrons en championnat. Malgré les 5 titres de champions d’affilée, en début de saison, nous nous devons d’oublier ce qui s’est passé auparavant.
Avez-vous l’impression qu’ils sont plus forts que l’an dernier ? Comme chacun l’a remarqué, c’est un autre Real avec une assise défensive beaucoup plus solide qui se présentera mercredi. Au regard du recrutement et du profil de l’équipe, ils ont l’air de constituer un bloc assez solide défensivement. De toute façon, en Ligue des Champions, avec les ambitions que nous avons, peu importe l’équipe, il faut arriver à passer ces étapes.
Un mot sur le retour de Djila à Gerland (Mahamadou Diarra). Durant une carrière, on croise souvent des copains mais cela va être drôle. Cela devrait constituer un moment un peu particulier pour lui mais également pour nous. Par la suite, l’enjeu devrait prendre le dessus. Il défendra les couleurs du Real et nous allons tout faire pour que cela se passe mal pour lui
|
| |
|
|
|
|
|
|
|
09/09/2006 16:46

 « Avoir envie ! »
Guy Lacombe s’est présenté en salle de presse souriant et détendu. Comme à son habitude. Sans minimiser l’importance de ce PSG-OM, l’entraîneur parisien place le jeu au-dessus de l’enjeu. Il espère surtout assister à un beau sommet, disputé dans une ambiance fantastique. Et si en plus la victoire du PSG était au bout…
Au Camp des Loges, le samedi 9 septembre
Quels sont les points forts et faibles de l’OM ? Guy Lacombe : « Cette équipe possède beaucoup plus de points forts que faibles ! Marseille est leader de Ligue1, n’a toujours pas encaissé le moindre but et reste sur une probante victoire 3-0 à Auxerre. L’OM est bien en ce moment et se rendra au Parc des Princes en pleine confiance. »
Il faudra donc un PSG en pleine confiance pour espérer quelque chose ! Guy Lacombe : « Effectivement, il faudra être encore plus forts que face à Lille. Marseille possède des joueurs de qualité, capables de faire la différence à tout moment. Je pense notamment à leurs cinq joueurs offensifs. Il n’y aura cependant pas de plan anti-Ribéry, nous surveillerons tout le monde. »
La bataille du milieu de terrain s’annonce donc rude. Guy Lacombe : « Le milieu de terrain, c’est le cœur d’une équipe. Cissé, Dhorasoo et Rozehnal auront ainsi un rôle important, mais je compte également sur Frau et Kalou dans cette zone du terrain. L’équipe qui remportera le plus de duels offensifs et défensifs gagnera ce match. »
La PSG possède-t-il un ascendant psychologique après sa victoire en finale de la Coupe de France ? Guy Lacombe : « La vérité du 29 avril ne sera pas celle du 10 septembre. Tous les matches sont différents. Nous ne jouerons pas de la même manière, mais nous serons animés de la même envie. Quoiqu’il arrive, le 29 avril 2006, restera une date importante dans l’histoire du club. Dimanche soir, il faudra avoir plus envie de gagner que l’OM. Nous jouons à domicile, devant nos supporters, et pour toutes ces raisons, on veut gagner ce match. »
Cette rencontre peut-elle véritablement lancer la saison du PSG ? Guy Lacombe : « On ne le sera qu’au coup de sifflet final ! Ce match reste important pour le club et ses supporters. Les Marseillais sont favoris, ils sont leaders. Les joueurs de l’OM semblent d’ailleurs confiants. »

Quel rôle doit avoir Monsieur Bré, l’arbitre de la rencontre ? Guy Lacombe : « J’ai parlé ce matin (samedi) des nouvelles directives de l’UEFA. Elles semblent cohérentes. Monsieur Bré est un excellent arbitre, tout comme Monsieur Chapron d’ailleurs (arbitre de Sochaux-PSG). Il faut simplement espérer que ses décisions n’influent pas sur le résultat final du match. »
Encore une fois, le PSG va pouvoir s’appuyer sur un grand Pauleta ! Guy Lacombe : « Après un mois d’août perturbé, tout le monde arrive à un bon niveau physique. Pedro est un grand buteur. Dans le football, il faut marquer un but de plus que l’adversaire, et avec Pedro Pauleta, nous possédons une fine gâchette. »
Que vous inspire ce PSG-OM ? Guy Lacombe : « C’est un match à la saveur particulière, sans excès, avec une rivalité saine entre deux publics fantastiques. Je n’ai pas envie de mauvais coups, d’électricité, je veux un beau et grand PSG-OM. »
Avec la grande fête prévue par les supporters, l’ambiance promet en tout cas d’être à la hauteur de l’événement ! Guy Lacombe : « Ils sont toujours derrière nous. Dimanche soir, je leur demande d’encourager leur équipe de la 1ère à la dernière minute. Comme ils savent le faire. Ils peuvent être très impressionnants pour l’adversaire qui foule la pelouse du Parc. A l’image du public anglais ou écossais, nos supporters doivent mettre la pression sur l’adversaire, mais sans insulte. Nous aurons besoin d’eux ! »
| |
|
|
|
|