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13/05/2006 08:52
Strasbourg pense à demain
24/04/2006 Par Régis AUMONT De Sports.fr S'il conserve une chance infime de se maintenir dans l'élite, le Racing Club de Strasbourg a déjà tourné la page d'une saison calamiteuse. Relégables depuis la sixième journée, les Alsaciens n'ont pas su se mettre au niveau de la Ligue 1 malgré les ambitions affichées par les dirigeants l'été dernier. Dix-huitièmes à sept points de Troyes, et ce à trois journées du tomber de rideau du championnat, les hommes de Jacky Duguépéroux se dirigent vers la deuxième descente du club en six ans. Un beau gâchis...
Diané aura tout tenté pour sauver le RCS.
"La place du Racing Club de Strasbourg est en Ligue 1", déclarait Philippe Ginestet, le président du club centenaire, au soir d'une 35e journée de championnat fatale aux derniers espoirs de maintien des Alsaciens. Certes, au vu de ses moyens financiers, de ses structures, mais aussi du poids de la ville sur le plan national, Strasbourg mérite d'avoir une équipe évoluant au plus haut niveau hexagonal. Mais voilà, cinq ans après la descente de 2001, le RCS va à nouveau connaître les affres d'une rétrogradation à l'échelon inférieur. Et devoir au plus vite, chose jamais évidente, se sortir des griffes de la Ligue 2.
Avec un budget estimé à une vingtaine de millions d'euros, le Racing, dont les ambitions étaient d'assurer au plus vite le maintien dans l'élite pour pouvoir ensuite jouer les troubles-fêtes, n'a remporté que cinq matches sur trente-cinq, médiocre performance que seul son voisin messin a « su » égaler. La mayonnaise entre des joueurs aguerris aux joutes de la Ligue 1 (Les frères Farnerud, Devaux, Le Pen, Johansen, Deroff) et les jeunes pousses (Haggui, Bellaïd, Boka, Diané, Hosni, Keita) n'a pas pris. "Désormais, il va falloir reconstruire", poursuit Ginestet. "La Ligue 1, ce sera l'objectif numéro 1 du club la saison prochaine. Même si remonter directement n'est jamais une chose facile."
Devaux: "La reconstruction commence maintenant"
Tout comme il sera sans doute délicat de conserver cet été certains des meilleurs éléments du club. On pense notamment à Amara Diané, auteur de huit buts en championnat cette saison. Dans la ligne de mire de nombreux clubs, le milieu de terrain ivoirien ne parvient toutefois pas pour le moment à se sortir de la tête les images d'une saison totalement manquée. "Vivre une descente est quelque chose de rageant", peste-t-il sur le site officiel du club. "Nous avons loupé plusieurs occasions tout au long de la saison. Il y a des saisons comme ça..." A oublier au plus vite...
Les trois derniers matches de la saison, dont le derby de l'Est face à Nancy dimanche prochain, puis à Marseille, et enfin à Auxerre, seront donc, à moins d'un miracle, – les Alsaciens doivent prendre un minimum de sept points et compter sur un zéro pointé de Troyes – les derniers dans l'élite avant 2007 au mieux. Pas question pour autant de les jouer en toute décontraction selon Jean-Christophe Devaux: "Il faudra faire bloc et peut-être faire jouer ceux qui seront là l'année prochaine. La reconstruction commence maintenant."
Présent lors de la descente, puis de la remontée immédiate de Strasbourg en L1 il y a quatre ans, le défenseur alsacien, aujourd'hui âgé de 30 ans, sait qu'il n'est pas simple de faire l'ascenseur et qu'il faut déjà songer à la saison prochaine. "En Ligue 2, il faut des compétiteurs", clame-t-il fort de son expérience. "A ce niveau, c'est surtout le mental qui fait la différence. La technique, nous l'avons. Tout va se jouer dans les têtes. Il faudra surtout croire en nous pour tenter de remonter tout de suite." Histoire de ne pas contredire le président.
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13/05/2006 08:50
L'OM et le PSG prennent cher!
03/04/2006 Par FABRICE VOISIN De Sports.fr Le Conseil national de l'éthique a frappé fort, lundi, à l'encontre du PSG et de l'OM. Saisi par la LFP au sujet du fameux match entre les deux formations, joué le 5 mars dernier, le CNE, a décidé d'infliger un point de suspension à chaque club. "Le comportement des deux clubs (...) a gravement porté atteinte à l'image du football. Ni les règles, ni la morale, ni l'éthique n'ont été respectées, précise un communiqué du CNE. Par ailleurs Pape Diouf et Pierre Blayau ont été suspendus de leurs fonctions pour trois mois.
PSG-OM, le match n'est pas fini...
La polémique était retombée. On avait fini en effet par oublier cet épisode pour le moins fâcheux de la 28e journée de Ligue 1 quand le soi-disant clasico entre le PSG et l'OM avait été complètement dénaturé par la décision marseillaise de n'envoyer au Parc des Princes qu'une équipe de réservistes et qui plus est, sans le moindre supporter. Une décision motivée par Pape Diouf pour protester contre des conditions de sécurité qu'il jugeait dangereuses. Un pathétique bras de fer entre les deux clubs, avec une tentative vaine de Frédéric Thiriez de ramener chacun à la raison, qui avait abouti à un spectacle lamentable, la Ligue 1 dans ce qu'elle a de pire...
C'est justement cette atteinte à l'image de la Ligue 1 que Frédéric Thiriez avait souhaité dénoncer en se campant sur des positions éthiques et en faisant appel à l'arbitrage du Conseil national du même nom, une sorte de coquille vide présidée par Dominique Rocheteau et donc invitée à se prononcer. Réuni ce lundi au siège de la FFF, le CNE a ainsi décidé de renvoyer chacun dos à dos en faisant mine de jouer la sévérité. En lutte pour les places européennes, le PSG et l'OM se voient ainsi sanctionnés d'un point de suspension au classement tandis que les présidents Pierre Blayau et Pape Diouf écopent d'une suspension de trois mois de leurs fonctions. Enfin, le Conseil national de l'éthique exige que les deux clubs rédigent ensemble, avant le 30 juin prochain, un protocole d'accord qui devra lui être soumis, sous peine de prononcer "le huis clos sur les matches de Championnat de L1 entre les deux clubs", sans plus de précision, ni dans le temps, ni dans l'espace...
La légitimité du CNE...
"Après avoir entendu les arguments des deux clubs (Jean-François Meaudre pour le PSG et Pape Diouf pour l'OM) au cours d'un débat contradictoire, le CNE constate que le comportement des deux clubs dans cette affaire a gravement porté atteinte à l'image du football, il estime que ni les règles ni la morale ni l'éthique n'ont été respectées.", argumente le CNE dans son communiqué. Une décision qui ne devrait pas manquer de provoquer quelques réactions ces prochaines heures chez les deux clubs concernés qui, pour le coup, devraient se retrouver sur la même ligne et qui auront tôt fait, via leurs juristes, de mettre à mal cette argumentation un peu légère. On peut ainsi s'attendre à ce que la Commission d'appel de la LFP récupère prochainement le bébé, histoire d'ajouter encore quelques épisodes à un bien triste feuilleton qui n'a que trop duré.
Certes, l'image déjà peu reluisante de la Ligue 1 a sans aucun doute été une nouvelle fois écornée mais, en refusant de désigner un coupable et en traitant le PSG et l'OM sur le même plan, le CNE se place délibérément sur le seul terrain du symbolique comme si une simple leçon de morale allait suffire à ramener dans le droit chemin deux mauvais élèves un peu dissipés. Une position au-dessus de la mêlée qui semble difficilement tenable pour une institution dont la légitimité est plus que fragile à un moment où le football français dans la tourmente aurait bien besoin d'une autorité plus marquée...
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13/05/2006 08:49
Sedan s'en contente
24/04/2006 Par A. S. De Sports.fr Consulter aussi: Amiens-Sedan à la loupe Bastia-Caen: quelle pagaille !
Même s'ils espéraient une victoire, les Sedanais se contenteront du point obtenu lundi à Amiens (0-0) en clôture de la 35e journée de Ligue 2. Les hommes de Romano, deuxièmes, possèdent ainsi cinq points d'avance sur le quatrième au classement, Caen, et se rapprochent un peu plus de l'élite. Les Amiénois, eux, ont oublié la gifle reçue à Guingamp et prennent leur distance avec la zone rouge. Enfin, la LFP a donné la victoire à Caen, devant Bastia, sur le score de 2-0, celui affiché au moment des incidents de Furiani.
Boutabout et Sedan ont pris un bon point.
Ils ne feront pas la fine bouche. Bien évidemment, une victoire au stade de la Licorne lundi soir aurait fait le bonheur de Sedan, qui aurait alors compté sept longueurs d'avance sur le quatrième avant de recevoir le leader valenciennois vendredi prochain.
Mais ce point pris sur la pelouse d'Amiens, en conclusion de la 35e journée, est tout de même le bienvenu pour des Ardennais bousculés, notamment en seconde période, par des Picards qui devaient se faire pardonner de la déroute enregistrée il y a 10 jours à Guingamp (0-6).
Les hommes de Ludovic Batelli attaquaient donc ce match du rachat comme il fallait. La meilleure manière de ne pas gamberger était effectivement de prendre tout de suite les devants en mettant du rythme. Les Picards tentaient donc de s'activer par l'intermédiaire des remuants Dia ou Traoré mais les Sedanais se créaient les premières occasions nettes et à chaque fois, on retrouvait Mansour Boutabout dans le coup.
Belhadj tout près du hold-up
L'international algérien reprenait d'abord un centre de Belhadj, bien repoussé par Merville (5e) avant de servir idéalement de la être Laurent Gagnier. Et le gardien d'Amiens sauvait encore la mise en détournant en corner (7e). L'orage passé, les protégés des spectateurs de la Licorne reprenaient la maîtrise du ballon obligeant les Ardennais à ne penser qu'à défendre. Mais les hommes de Batelli n'inquièteront véritablement leurs adversaires qu'à une seule reprise grâce une frappe légèrement détournée de Titi Camara captée sans trop de souci par Regnault.
La seconde période démarrait dans la foulée de la fin de la première avec une belle opportunité pour Amiens. Traoré slalomait côté gauche avant de servir dans la surface Dia, oublié par la défense sedanaise, mais, hélas pour les Picards, sa reprise passait loin du cadre (47e). Bien que proche de la retraite (il joue cette saison les derniers matches de sa carrière, ndlr), Titi Camara (33 ans) a démontré que sa technique était intacte à l'image de ce petit numéro dans la surface de réparation conclu par une talonnade que gâchait Buron en voyant son ballon fuir à toute vitesse le cadre (72e).
Camara, encore lui, avait déjà fait admirer un peu plus tôt sa frappe après s'être joué de deux Sedanais à l'entrée de la surface (54e). Cette seconde période fut incontestablement à l'avantage des Amiénois mais Sedan faillit réaliser le parfait hold-up sur cette pénétration de Belhadj dont le tir effleurait presque le montant droit de Merville (93e). M. Poulat, qui représentera la France lors du Mondial au mois de juin, sifflé alors la fin pour un résultat qui satisfera les deux équipes
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13/05/2006 08:46
Bastia-Caen: quelle pagaille !
21/04/2006 Par PIERRE-GILLES HUOT De Sports.fr Quelle triste fin de match... Alors que les Caennais menaient 2-0 contre Bastia à Furiani dans ce match crucial de la 35e journée de Ligue 2, des supporters bastiais mécontents ont envahi le terrain à dix minutes de la fin du match. La rencontre a été immédiatement interrompue et ne reprendra pas, alors que le score n'a pas été entériné. C'est désormais à la Ligue de statuer... Valenciennes, vainqueur de Istres à domicile 1-0, devra patienter de son côté avant de décrocher son billet pour la L1, une montée parmi l'élite qui dépendait du résultat de Bastia-Caen.
Bastiais et Caennais n'ont pu aller au terme de leur affrontement.
Une image dont on se serait bien passé... Soudain tout a basculé. A la 80e minute du match crucial pour la montée en Ligue 1 opposant au stade Furiani Bastia à Caen, quelques dizaines de supporteurs bastiais au visage masqué par des écharpes envahissaient le terrain, forçant ainsi les Caennais et les arbitres à se précipiter aux vestiaires. S'ensuivait une énorme confusion, alors que les Bastiais restaient sur la pelouse pour tenter de ramener le calme. En vain... Les supporteurs entamaient un "tour d'honneur", brandissant une énorme banderole où était écrit "Stumacati", qui signifie "dégoûtés" en Corse.
Une reprise de la partie semblait de plus en plus improbable, avant que les lumières du stade ne s'éteignent, suite à la décision de l'arbitre d'arrêter définitivement la partie. Bernard Casoni, l'entraîneur de Bastia resté au bord du terrain, constatait alors avec amertume: "Il y a des choses qui nous dépassent, c'est dommage qu'on en arrive là..." Cédric Sauget, de son côté, faisait part de son dépit: "Cela donne une mauvaise image de la Corse. C'est une fin de saison difficile."
Un deuxième but qui met le feu aux poudres
Difficile est en effet le mot adéquat lorsqu'on se penche sur le parcours de Bastia. Les Corses, qui étaient encore premiers il y a un mois au terme de la 29e journée, se trouvaient dans une position délicate avant l'entame de cette 35e journée. En chute libre après trois défaites consécutives, laissant ainsi s'échapper leur avance, les hommes de Casoni avaient en outre encaissé neuf buts lors de leurs trois dernières rencontres en Championnat... Dans ces conditions, la venue du Stade Malherbe de Caen (sur une série de six victoires d'affilée) qui les précédait d'une longueur au classement, prenait donc des allures de match couperet. La défaite était interdite pour les Bastiais, comme pour les Caennais dans à la course à la troisième place synonyme de montée.
Un nul n'aurait pas non plus arrangé les deux formations. Dans ce contexte tendu, le match n'aura pas manqué d'engagement. Les Bastiais avaient pourtant des raisons de croire à la fin de leurs ennuis en livrant une première mi-temps de très bonne facture, marquée par de très belles initiatives de Diane (17e), Pierre-Yves André (20e) et Arnaud Maire (23e) qui butaient sur un Vincent Planté en état de grâce...
Les Corses, pourtant décimés par les forfaits consécutifs à des blessures (Florent Laville, Price Jolibois, Fabrice Jau, Frédéric Née et Christophe Meslin), imprimaient leur rythme. Mais leur combativité ne suffisait pas et ce sont les Normands qui ouvraient la marque par l'entremise de Compan sur une frappe à ras de terre (74e, 1-0). Les travées du stade Furiani commençaient à gronder. Alors, lorsque Deroin doublait la mise à la 77e minute, les supporteurs bastiais explosaient de colère. La suite on la connaît... Reste maintenant aux instances compétentes de la Ligue de statuer, alors que le résultat du match n'est pour le moment pas entériné. Mais il y a de fortes chances pour que Caen s'impose sur tapis vert.
En marge de cet triste épisode, Valenciennes, qui devait s'imposer tout en espérant un nul entre Bastia et Caen pour décrocher son billet pour la Ligue 1, devra donc patienter. Vainqueurs de Istres 1-0, les Nordistes ont rempli leur contrat. Mais ils ne s'imaginaient sans doute pas à un tel scénario à Bastia. Enfin, Lorient, 3e, a manqué l'occasion d'empocher trois précieux points en se faisant rejoindre au score à la 86e minute face à Créteil. Sedan, dauphin de Valenciennes, peut en profiter, lundi soir, en se rendant à Amiens.
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13/05/2006 08:46
Lorient au paradis
12/05/2006
Le public du Moustoir peut exulter: Lorient est en Ligue 1.
Lorientais et Caennais se disputaient vendredi soir, à l'occasion de la 38e et dernière journée de Ligue 2, la troisième place, synonyme de montée à l'échelon supérieur. Et au terme d'une soirée à rebondissements, où chacun a occupé virtuellement ce dernier strapontin, ce sont les Bretons, vainqueurs de Reims (3-1), qui décrochent le précieux sésame. Caen, auteur d'une fin de saison éblouissante, et d'une dernière victoire face à Créteil (3-1), meurt à la quatrième place pour une histoire de différence de buts. Cruel. Lire l'article
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