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Il faut aussi penser à Sedan!!
07/10/2006 09:53
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PSG |
1 - 0 |
Créteil
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vendredi 06 Octobre 2006 Amical |


Paris garde le rythme
Guy Lacombe a profité de la trêve internationale pour peaufiner ses réglages lors d’un match amical face à Créteil, disputé à huis clos au Parc des Princes. Jérôme Rothen a joué une heure, dans cette rencontre remportée grâce à un but de l’incontournable Pauleta à l’heure de jeu.
Au Parc des Princes, le 6 octobre 2006
Alors que le Parc des Princes se préparait pour la Brocante de ce week-end, les joueurs parisiens chaussaient les crampons afin d’affronter Créteil, dans un duel francilien amical. Sous les yeux des salariés du club, invités en Tribune d’Honneur, le PSG a trouvé la faille dans la défense cristolienne en seconde période. Guy Lacombe avait surtout dans l’idée de donner du temps de jeu à ses joueurs (Rothen, Yepes) et de lancer quelques jeunes parmi les pros (Chantôme, Mulumbu, Mvoto, Ngog).
La première tentative du match vient de Paulo Cesar. Le Brésilien profite d’un ballon mal ressorti par la défense pour frapper au but. Une tentative lointaine contrée par un défenseur (5e). Créteil subit et tente alors de réagir en contre. Baha décale Omari devant le but d’Alonzo, mais l’attaquant n’a pas suivi (8e). Paris reprend alors le contrôle de la partie. Hellebuyck porte le ballon au milieu de terrain et lance Pancrate, qui s’avance coté droit, lève la tête et sert Pauleta dans le dos de la défense cristolienne. L’attaquant parisien est cependant signalé hors jeu (14e).
Mario Yepes auteur d'un excellent match
Electron libre de l’attaque Rouge et Bleue, Kalou s’échappe coté gauche et centre au second poteau. Pauleta est à la réception, mais Mendes dégage de la tête (24e). Sur le corner, la défense parvient à repousser le ballon, mais Hellebuyck est à la retombée. L’ancien stéphanois reprend du droit et oblige Trivino à plonger pour sortir le cuir du cadre (25e). Les techniciens parisiens montent doucement en puissance, à l’image de Kalou qui, d’un petit passement de jambes parvient à éliminer son vis-à-vis, avant de chercher Pauleta dans un trou de souris. Malheureusement, un pied cristolien s’interpose (38e).
Après la pause, Cissé, Baning, Rodriguez et Diané remplacent Mvoto, Armand, Hellebuyck et Pancrate. A l’entame de cette seconde période, c’est au tour d’Alonzo de se déployer afin de garder son but inviolé, face à Baha (52e), puis sur un tir d’un jeune du centre de formation de Créteil (54e). Les joueurs d’Olivier Frapolli ne verront dès lors plus l’ombre d’une occasion. Baning décale Diané coté droit. L’ailier parisien centre fort à raz de terre. Pauleta a suivi au deuxième poteau et marque à bout portant (1-0, 57e). Paris concrétise finalement sa domination au terme d’un joli mouvement collectif.
Albert Baning tente la frappe
Les Rouges et Bleus vont alors pousser, face à une défense déstabilisée par ce premier but. Ainsi, Kalou reçoit un ballon aux vingt mètres et tente sa chance. De peu à côté (62e). Alors qu’un nouveau turn-over voit six Parisiens remplacés à l’heure de jeu, Diané sert Armand à l’entrée de la surface. Le gaucher contrôle et frappe... sur la transversale (67e) ! Sous une pluie battante, c’est au tour de Diané de réaliser une belle frappe à l’entrée de la surface. Le portier cristolien est obligé de claquer ce ballon en corner (73e).
Diané, encore lui, talonne pour Ngog. Le jeune attaquant dribble son défenseur et sert Armand dans la course. La frappe est puissante, mais passe à droite du but. Bel enchaînement (76e). C’est décidément le quart d’heure de Diané : l’Ivoirien se retourne dans l’axe et prend sa chance, sans pour autant inquiéter le portier adverse (87e). Dans les dernières secondes de la partie, le gardien cristolien peine à capter un tir de Ngog, mais parvient in extremis à enlever le ballon des pieds de Diané (90e). Les deux formations se séparent sur ce score anecdotique d’un but à zéro, mais l’objectif était avant tout pour Guy Lacombe de bien préparer la réception de Sedan, samedi prochain au Parc des Princes. C’est chose faite !
Loïc Prigent
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RUGBY
07/10/2006 09:48
Montauban l'a fait !
Enormes Montalbanais qui, vendredi, ont réussi l'impensable et infligé au Stade Français, invaincu en 9 journées, sa première défaite (15-9) sur leur pelouse de Sapiac. Après Biarritz et Perpignan, Montauban réussit une incroyable passe de trois aux dépens de Parisiens apparus très nerveux, réduits à 13 en fin de match et terrassés par la botte du buteur montalbanais, Sébastien Fauqué, auteur des 15 points de sa formation.
Les Montalbanais grimpent à la 2e place du Top 14 !
"Une série comme ça, on s'en souviendra toute notre vie!" Sébastien Fauqué ne touche plus terre. Comme l'ensemble de ses coéquipiers, emportés par une folle sarabande, l'ouvreur et capitaine montalbanais, héros de cette soirée, d'ores et déjà appelée elle aussi à intégrer en bonne place les annales du club, avec à son actif l'ensemble des points de sa formation, a du mal, au micro de Canal+, à prendre la mesure et l'ampleur de l'exploit accompli. Et surtout du retentissement de la folle semaine que lui et ses coéquipiers, promus cette saison dans le Top 14, "les paysans", comme se surnomme encore Marc Raynaud, viennent de vivre.
Après Biarritz, déjà à Sapiac, mercredi dernier (19-13), puis l'Usap, dévalisée à Aimé-Giral samedi (18-13), voilà que les joueurs tarn-et-garonnais ont accroché à leur tableau de chasse l'invincible Stade Français (15-9), qu'aucune autre formation, même pas le grand Toulouse, n'était parvenue jusqu'à présent à faire chuter. Neuf journées que l'impressionnant manège parisien tournait à plein régime, avec il est vrai quelques ratés annonciateurs lors de ses deux dernières sorties... Vendredi, dans la cuvette de Sapiac, la série s'est brutalement interrompue pour David Auradou et ses coéquipiers. Un revers qui, pour tour dire, pendait au nez de ces Parisiens apparus moins tranchants à Brive, puis face à Albi, et dont les absences (onze blessés et les frères Bergamasco, plus Parisse, retenus en sélection), à l'occasion de ce cinquième déplacement de la saison, constituaient des handicaps de choix.
Glas: "On a été moyen..."
Rédhibitoires en tout cas qu'en sur son chemin se dresse une formation en état de grâce, épargnée par les blessures et à la confiance décuplée. Les Montalbanais ne craignent rien, ni personne dans ce championnat qu'ils redécouvrent avec l'envie de tout casser chaque semaine. Un appétit débordant qui se sera matérialisé une fois de plus vendredi, en début de rencontre. Alors que les Parisiens étaient apparus fébriles, animés par une trop grande nervosité, à l'image d'un Julien Arias qui, d'entrée, par sa langue trop bien pendue, se mettait l'arbitre, M. Rosich, à dos pour toute la partie, le MTG XV, lui, se lançait dans la bataille à corps perdu, imposant une pression immédiate à son adversaire sans s'occuper de son pedigree... La confrontation entre avants était déjà féroce, au point que Marconnet, bien que déjà occupé avec De Villiers par ses retrouvailles avec les deux Pablo argentins, Henn et Lemoine en première ligne, anciens Parisiens, évoquait le bon vieux temps avec Juan Carlos Bado, autre vielle connaissance du Stade. Un peu trop vertement au goût du corps arbitral qui envoyait les deux ex-coéquipiers au frigo dix minutes (6e).
Paris se fourvoyait en ce début de rencontre, comme sur cette grossière faute au sol d'un Stéphane Glas qui, à l'issue du match, ne pouvait que constater qu'en ce moment "on est vraiment trop moyen." Le centre parisien avait offert sur ce coup-là à Fauqué l'ouverture du score sur pénalité (3-0, 9e), tout près de concrétiser un peu plus encore la grosse pression de ses avants au quart d'heure de jeu sur un drop mal ajusté (14e). ce n'était que partie remise tant Paris prenait le grain adverse sans donner l'impression de pouvoir réagir et le buteur montalbanais doublait la mise sur pénalité cette fois (6-0, 16e) pour le plus grand bonheur d'une cuvette pleine à craquer pour l'occasion (9200 spectateurs!). Le pack mijoté par les deux "Lolo" du banc montalbanais, Travers et Labit, faisait des merveilles et les lignes arrières n'étaient pas en reste. Surtout quand Fauqué feintait la croisée vers Jahouer, pour mieux trouver Viard lancé sur une action qui, certes n'aboutissait pas, mais offrait au capitaine des Verts trois points de mieux (9-0, 29e). La longue séquence parisienne, juste avant la pause, s'interrompait, comme un symbole, sur un drop de Lionel Beauxis contré (40e).
Le rouge pour Martin !
Paris ne pouvait pas faire pire. Et son début de seconde période avait une autre allure quand Beauxis, en total déséquilibre, trouvait Hernandez dont le coup de pied à suivre échappait d'un souffle à Julien Saubade sur la voie de l'essai sur son aile (51e). L'avertissement était sans frais et Beauxis inscrivait dans la foulée les premiers points parisiens (9-3, 55e). Le match avait changé d'âme, Paris remis la main sur le ballon et Montauban cherchait un second souffle. Beauxis, toujours, ratait d'un cheveu une tentative de près de... 60 mètres (57e), mais pas la suivante tout à fait dans ses cordes (9-6, 58e)!
Il y a de la joie pour les deux ''Lolo'' de Montauban, Travers et Labit.
Le rythme du match s'accélérait comme Montauban retrouvait le fil de son jeu. Benjamin Kayser, poussé à la faute sur un superbe groupé pénétrant qui faisait rugir d'aise un Sapiac en fusion, et Fauqué redonnait de l'oxygène à ses Verts (12-6, 63e). L'atmosphère devenait pourtant irrespirable et Paris allait payer cher ses écarts de langage du premier acte. M. Rosich, intransigeant, pour ne pas dire trop tatillon, sortait le carton rouge pour Rémy Martin, coupable d'un coup de tête non porté (65e) avant de réduire le Stade Français à treize sur un carton jaune adressé à son capitaine, David Auradou (70e).
Des sanctions dont Laurent Labit aura la clase de reconnaître qu'ils "nous ont fait du bien à la fin du match." Entre temps, Fauqué avait fait payer de trois nouveaux points la faute au sol de Szarzewski (15-6, 69e) et Paris, si diminué, ne devait se contenter que du point de bonus défensif arraché par la botte de Beauxis (15-9, 75e). Montauban, désormais... dauphin des Parisiens au classement (!), concluait ces derniers huit jours historiques par un sixième succès en dix matches. Plus que quatre pour atteindre le total censé assurer le maintien et voir, qui sait, encore plus haut...
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Tennis
07/10/2006 09:46
A Grosjean, le duel des minots
Grosjean n'avait plus été à pareille fête depuis février dernier à Marseille.
Entre les deux amis provençaux, de nouveau coéquipiers d'entraînement, le duel vedette des quarts de finale de l'Open de Moselle a tourné vendredi, à Metz, à l'avantage de Sébastien Grosjean, vainqueur (6-7, 6-3, 6-2) face à Arnaud Clément qui, 24 heures après son coup de force face à Gasquet, n'a pas su confirmer. Ils seront deux Français en demi-finale samedi, Marc Gicquel ayant dominé Florent Serra (6-4, 7-5). Tout comme à Tokyo, où Marion Bartoli et Camille Pin, futures adversaires, se sont hissées dans le dernier carré.
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Tennis
07/10/2006 09:45
Open de Moselle International Series Metz, FRA - Du 2 Octobre au 8 Octobre
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1er Tour |
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FERRER (SPA, 1) |
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GICQUEL (FRA, WC) |
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GARCIA-LOPEZ (SPA) |
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SANGUINETTI (ITA) |
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SANTORO (FRA) |
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MATHIEU (FRA) |
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SERRA (FRA) |
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SODERLING (SWE, 8) |
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YOUZHNY (RUS, 4) |
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SAFIN (RUS, SE) |
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MELZER (AUT) |
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MONTANES (SPA) |
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ASCIONE (FRA, Q) |
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FISH (USA) |
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RAMIREZ HIDALGO (SPA) |
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VERDASCO (SPA, 7) |
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HRBATY (SVK, 6) |
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SAULNIER (FRA, Q) |
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CLEMENS (ALL, Q) |
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PATIENCE (FRA, WC) |
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BRACCIALI (ITA) |
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KOHLSCHREIBER (GER) |
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MAHUT (FRA) |
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DJOKOVIC (SME, 3) |
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GASQUET (FRA, 5) |
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STAKHOVSKY (UKR, Q) |
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MALISSE (BEL) |
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CLEMENT (FRA) |
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MAYER (GER) |
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GROSJEAN (FRA) |
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BENNETEAU (FRA) |
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FERRERO (SPA, 2, WC) |
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1/8 finale |
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GICQUEL |
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6-3, 5-7, 6-4 |
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GARCIA-LOPEZ |
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7-6 (3), 4-6, 6-0 |
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MATHIEU |
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6-4, 5-7, 6-4 |
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SERRA |
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5-7, 7-6 (3), 6-2 |
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SAFIN |
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6-1, 6-4 |
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MELZER |
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7-5, 6-2 |
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FISH |
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4-6, 6-3, 6-2 |
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RAMIREZ HIDALGO |
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6-3, 6-3 |
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SAULNIER |
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4-6, 6-3, 6-3 |
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CLEMENS |
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7-5, 6-7 (2), 6-3 |
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BRACCIALI |
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4-6, 6-3, 7-5 |
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DJOKOVIC |
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6-2, 6-3 |
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GASQUET |
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6-3, 6-1 |
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CLEMENT |
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7-6 (3), 6-2 |
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GROSJEAN |
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6-3, 6-4 |
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BENNETEAU |
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6-4, 1-6, 7-6 (7) |
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1/4 finale |
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GICQUEL |
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6-2, 6-3 |
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SERRA |
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1-6, 6-3, 7-6 (2) |
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MELZER |
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4-6, 6-2, 7-6 (5) |
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FISH |
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6-3, 6-3 |
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CLEMENS |
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7-6 (4), 6-7 (4), 7-6 (5) |
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DJOKOVIC |
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6-0, 6-3 |
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CLEMENT |
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6-7 (3), 7-6 (3), 7-5 |
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L'ESPAGNE
07/10/2006 09:41
La vie sans Raul
La Furia est au plus mal. Depuis l'élimination en Coupe du monde jusqu'à l'inquiétante défaite en Irlande (2-3) pour le début des qualifications à l'Euro 2008, l'équipe d'Espagne est retombée sur terre. Les promesses entrevues en Allemagne ne sont plus qu'un lointain souvenir pour une équipe qui va jouer une partie de sa qualification en Suède samedi. Après avoir proposé sa démission (refusée), Luis Aragones, le sélectionneur espagnol a frappé un grand coup en écartant Raul. Une première depuis dix ans.
Le retour en forme de Raul n'a pas convaincu Aragones
Vendredi dernier, Luis Aragones a rendu une liste inédite. Une sélection, pour les deux prochaines rencontres face à la Suède pour le compte de la troisième journée des qualifications à l'Euro 2008 puis en amical face à l'Argentine, particulièrement attendue. La folle rumeur de la non-sélection de Raul, qui courait depuis plusieurs jours, a été confirmée. L'attaquant du Real Madrid, longtemps considéré comme intouchable en sélection a appris la nouvelle... à la radio ! Une nouvelle preuve de la grande classe de Luis Aragones.
Evidemment, la nouvelle a été longuement commentée. Certains comprenant cette décision tandis que les autres s'offusquaient d'une telle décision. Car étrangement, c'est au moment où l'attaquant sort d'une longue période d'inefficacité qu'Aragones décide de le laisser à la maison. Force est de constater que les trois dernières saisons ont été pénibles pour Raul. Particulièrement la dernière année, puisqu'avant son doublé en Ligue des Champions face au Dynamo Kiev, le 10 des Merengue était resté muet pendant plus de onze mois.
Aragones a dû s'expliquer
Depuis quelques jours, Luis Aragones a ainsi dû s'expliquer sur son choix. Après l'éternel "je prends les meilleurs du moment", il a précisé que "les portes de la Furia ne sont pas fermées pour Raul" mettant de côté les rumeurs d'une brouille entre les deux hommes en pleine Coupe du monde. Plus précisément, la presse avait expliqué que Luis Aragones aurait très sérieusement songé à virer Raul et Canizares en pleine Coupe du monde pour "indiscipline". De son côté, Raul a répondu en marquant le but de son équipe dans le derby face à l'Atletico (1-1). Avec trois buts en une semaine, le Madrilène retrouve une moyenne digne de ses meilleures années...
Depuis, il y a eu un nouvel épisode avec la blessure de Reyes. Aragones a expliqué à la presse espagnole "ne pas avoir songé à rappeler Raul". Il a fait un heureux en piochant Antonio Puerta (FC Séville) des Espoirs espagnols. C'est donc sans Raul que la Furia va se déplacer en Suède. A priori, Luis Aragones devrait parier sur une paire Torres-Villa en pointe. Les deux hommes se connaissent bien et sont actuellement en pleine confiance.
Malgré tout, Luis Aragones sait qu'il joue gros face à la Suède. Deuxièmes du groupe F, les Espagnols ont perdu des points importants face à l'Irlande du Nord. Un deuxième revers consécutif leur compliquerait singulièrement la tâche. Car il ne faut pas oublier que outre la Suède, le Danemark ne sera pas une proie à prendre à la légère. Luis Aragones est d'ailleurs passé à l'attaque en déclarant que seule la victoire pourrait l'intéresser. Il compte changer de stratégie pour y parvenir. Finie l'attaque à outrance, il semblerait que la prudence soit désormais de mise. L'Espagne devrait jouer le contre et miser sur la vitesse de ses attaquants. Mais comme l'a déclaré le sélectionneur. Peu importe la manière, seule la victoire sera belle...
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