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En avant le P§G!!!
01/10/2006 11:44
« Ça va être chaud ! »
Dimanche, le PSG se rend à Saint-Etienne affronter l’ASSE dans un Chaudron qui s’annonce une nouvelle fois bouillant. Fort de cinq matches sans défaite, toutes compétitions confondues (2 en UFEA, 2 en L1 et 1 en Coupe de la Ligue), le PSG entend confirmer son récent succès à Monaco (2-1).
Au Camp des Loges, le samedi 30 septembre
 Guy, vous souhaitez tout d’abord revenir sur un événement qui vous a marqué cette semaine !
Guy Lacombe : « Effectivement, le comportement de nos supporters lors du match contre Derry relève pour moi d’un fait unique. Il s’est passé une réelle communion entre le public de Derry et celui du PSG. Un fait rare dans le football moderne qui n’a selon moi pas suffisamment été souligné dans la presse. »
Place à Saint-Etienne ! Un mot sur votre groupe.
Guy Lacombe : « Paulo Cesar n’est pas du voyage puisqu’il souffre d’une bronchite. J’ai donc rappelé Baning qui devait évoluer en CFA avec Jérôme Rothen (PSG-Rennes, samedi à 15h00 au Camp des Loges). Mendy, Kalou et Traoré sont bien présents dans le groupe qui se rendra à Saint-Etienne. »
Comment abordez-vous ce déplacement dans le « Chaudron » ?
Guy Lacombe : « Ce match s’annonce compliqué ! Saint-Etienne a un potentiel intéressant et possède un public omniprésent. Nous allons évoluer dans un stade mythique sans pour autant jouer la peur au ventre. C’est le genre de match qu’un joueur de foot aime disputer. Cette rencontre marque également la fin d’une série de 7 matches en 21 jours, ça va maintenant se jouer dans la tête. »
En face, vous retrouvez quelques joueurs qui ont joué au PSG où qui ont été proches de la Capitale…
Guy Lacombe : « Landrin était chez nous la saison dernière, alors que Piquionne et Ilan ont été à un moment donné sur les tablettes du PSG. Cette équipe a un réel potentiel offensif, notamment en contres. »
Paris reste cependant sur une belle victoire à Monaco ?
Guy Lacombe : « Ce sera plus difficile qu’à Monaco. Même si individuellement, c’est peut-être moins relevé, collectivement Saint-Etienne est un ton au-dessus de Monaco.»
Quel sera votre discours d’avant match ?
Guy Lacombe : « Il faudra prendre des points là-bas ! Pour cela, nous devrons jouer et ne pas y aller « petit bras ». Ce match se gagnera à 18, car il se peut qu’à l’heure de jeu certains joueurs soient fatigués. Si à la fin du match, les joueurs sont exténués et que Saint-Etienne mérite sa victoire, alors il n’y aura rien à dire. Nous ne savons pas gérer un match, il faudra donc aller de l’avant et aborder ce match avec détermination. »
Paris est donc prêt à affronter le Chaudron !
Guy Lacombe : « Ils vont nous bousculer en début de match. Nous sommes prévenus. Ce stade m’impressionne. Sur le banc, on a parfois l’impression que le terrain vibre. Ça va être chaud. »
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L1 ITALIENNE
01/10/2006 11:40
L'Inter en rattrapage
 Parfois perdus face au Bayern, Dacourt et ses coéquipiers doivent réagir en Serie A.
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L1 ESPAGNOLE
01/10/2006 11:39
Torres, l'autre Raul
fr Le capitaine et attaquant de l'Atletico est souvent comparé à Raul son homologue du Real. Dimanche, les deux joueurs s'affrontent à l'occasion du derby madrilène, affiche de la 5e journée de la Liga qui a débuté samedi avec la victoire du Barça à Bilbao 3-1. A 22 ans, El Nino a déjà inscrit 62 buts en championnat mais jamais face aux Merengue. Une lacune qu'il tentera de combler à Bernabeu où les joueurs de l'Atletico espèrent confirmer leur bon début de saison qu'ils réalisent avec leur nouveau coach, Javier Aguirre.
 Torres marquera-t-il enfin contre le Real?
Auteur par exemple de six buts en quatre rencontres face au Barça, l'autre grand d'Espagne, comment Torres n'a pas pu encore trouver le chemin des filets contre les Merengue ? "Ne pas marquer ne signifie pas pour autant mal jouer", rétorque-t-il.
Comme le jeune international le souligne, l'international espagnol a pris pour habitude de se distinguer lors des ces matches qui divisent la capitale espagnole mais pour l'instant sans faire mouche. "Je ne me prends pas la tête avec ça mais c'est clair, j'aimerais bien marquer quand même", avoue-t-il au quotidien Marca. Fernando Torres mériterait en tout cas d'accrocher à son palmarès de chasseur de buts, le grand Real Madrid, lui que l'on peut comparer aisément à Raul, son alter ego.
Comme le meilleur réalisateur de l'histoire de la sélection espagnole (44 buts en 102 capes), El Nino (L'enfant) a démarré sa carrière professionnelle à 17 ans à un poste d'avant-centre loin d'être évident à assumer surtout dans des formations de ce calibre. Après avoir participé à la remontée de l'Atletico parmi l'élite (2001-02), Torres a inscrit 19 buts la saison suivante en Liga, preuve de sa précoce maturité, autre point commun avec son illustre aîné. Et puis comme Raul, il a hérité très jeune du brassard de capitaine.
Imiter Hasselbaink
Les deux homme s'échangeront donc les fanions dimanche en fin d'après-midi sur la pelouse de Bernabeu mais n'auront pas le temps de parler de la sélection nationale. Pourtant, Raul a de quoi alimenter les débats actuellement. Vendredi, Luis Aragones ne l'a pas retenu pour les prochaines rencontres de la Seleccion comptant pour les éliminatoires de l'Euro 2008. Une sensation alors que le capitaine du Real s'est offert dans la semaine un doublé en Ligue des champions face à Kiev (5-1) et semble être revenu à un bon niveau.
Fernando Torres, lui, fait évidemment partie du groupe, signe peut-être que le passage de témoin s'opère petit à petit. A 22 ans l'avenir lui appartient. En attendant, le rendez-vous de dimanche a été préparé, comme tous les derbies, avec minutie, histoire pour les Matelassiers de briser une autre série. L'Atletico ne s'est plus imposé à Bernabeu depuis octobre 1999 lorsqu'un doublé de Jimmy Floyd Hasselbaink fit trébucher les Merengue (3-1). "L'Atletico a simplement besoin d'un bon résultat pour changer l'histoire de ces derbies. Et je pense que c'est le bon moment pour le faire", insiste Torres qui a raison d'y croire.
Sous la houlette de Javier Aguirre, arrivé dans la capitale espagnole en juillet dernier, les Matelassiers réalisent leur meilleur début de saison. depuis le fameux exercice 1995-96 conclu en beauté par le doublé coupe-championnat. Le coach mexicain, fort de trois succès et une défaite après quatre journées, détient peut-être la recette pour battre le Real, ce qui l'avait réussi lorsqu'il drivait Osasuna.
Chez eux, ils devront prendre l'initiative du jeu, ce qui nous laissera des espaces, insiste Torres. Le capitaine de la formation rojiblanco est bien décidé à démontrer aux yeux de tous que l'Atletico "appartient aussi à la catégorie des grandes équipes". Et peu importe si ses statistiques personnelles (62 buts inscrits en Liga depuis 2002-03) restent en l'état, pourvu que les siens repartent de Bernabeu avec les trois points.
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Arsenal en forçe!!!
01/10/2006 11:39
Arsenal avance, Chelsea piétine
Pas de victoire pour Chelsea, le leader du championnat anglais. Les Blues n'ont pas réussi samedi à enfoncer le clou à Stamford Bridge. Face à Aston Villa, ils ont été contraints au match nul (1-1). Trois jours après sa victoire contre Porto (2-0), Arsenal a gardé son rythme européen en s'imposant sur la pelouse de Charlton grâce à un doublé de Robin Van Persie(1-2). En attendant la fin de cette septième journée, Chelsea reste en tête avec seulement deux points d'avance sur Bolton, vainqueur de Liverpool (2-0).
 Un doublé de Robin Van Persie a permis à Arsenal de s'imposer.
Pourtant, les Londoniens prennent le meilleur départ. Le match n'en est qu'à sa troisième minute quand Didier Drogba inscrit son huitième but en championnat, son treizième en seize matches toutes compétitions confondues. Tout part d'un coup franc tiré par John Terry sur la droite. Le ballon arrive dans le paquet et Arjen Robben empêche Sorensen de s'en saisir. Dans le cafouillage qui suit, l'ancien Marseillais surgit et marque.
Huitième but pour Didier Drogba !
Derrière, Chelsea continue de pousser, même si sa domination n'est pas toujours flagrante. Les Blues ne réussissent pas à aggraver la marque. Pire, les hommes de Martin O'Neill égalisent quelques secondes avant la mi-temps. D'une tête imparable, le jeune Gabriel Agbonlahor, pas encore 20 ans, remet les deux équipes à égalité. Au retour des vestiaires, les champions d'Angleterre ne parviennent pas à faire la différence même si Kalou et Chevchenko, notamment, sont parfois à deux doigts de tromper la vigilance de Sorensen. Mais Aston Villa tient bon et contraint José Mourinho et ses hommes au partage des points.
Au même moment, Arsenal n'a pas connu le même ralentissement dans son rythme de marche. Après leur succès européen contre le FC Porto en milieu de semaine (2-0), les Gunners, pour le dixième anniversaire de la prise de pouvoir d'Arsène Wenger sur les bords de la Tamise, ont hors de leurs bases Charlton. Ce sont pourtant les joueurs d'Iain Dowie qui ouvrent le score. Après 21 minutes de jeu, Darren Bent trouve la faille dans la défense des Canonniers.
Robin Van Persie double buteur
Loin d'être assommés, les coéquipiers de Thierry Henry se ruent à l'attaque. Robin Van Persie, servi par Hleb, fait une première fois mouche en égalisant juste après la demi-heure de jeu (31e). L'international néerlandais remet ça peu après la pause d'une reprise à peine croyable en pleine surface (48e). Arsenal en profite pour poursuivre sa remontée au classement et pointe désormais à la septième place.
A l'inverse, Liverpool n'a pas réussi à enchaîner. Les Reds, qui restaient sur deux victoires contre Newcastle (3-0) et Tottenham (2-0), ont chuté à Bolton (2-0). Avec un seul point pris en quatre déplacements, les joueurs de Rafael Benitez sont toujours aussi hésitants à l'extérieur. Liverpool encaisse un premier but à la demi-heur de jeu. José Reina commet une belle bourde en sortant de sa surface pour dégager le ballon. Gary Speed en profite par un coup franc que l'expérimenté Gallois se charge de transformer (30e). Bolton enfonce le clou grâce à une tête d'Ivan Campo (51e). Liverpool a beau tout tenter, les Wanderers tiennent bon.
Grâce à cette quatrième victoire de la saison, Bolton remonte à la deuxième place du classement, juste derrière Chelsea. Everton, contraint au nul par Manchester City (1-1), reste invaincu et se maintient dans le top 5. En s'imposant face à Middlesbrough (2-1), Sheffield United se donne un peu d'air. Maintenant dix-septième, le promu sort de la zone rouge.
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L1 ALLEMANDE
01/10/2006 11:37
Le Werder ressuscité
En tête de la Bundesliga pour la première fois de la saison au soir de la 5e levée, le Bayern Munich n'a pas su faire honneur à son statut retrouvé, défait samedi à Wolfsburg (0-1) lors de la 6e journée. Un faux pas aux conséquences fâcheuses qui aura néanmoins fait son lot d'heureux. A commencer par Nuremberg, tenu en échec par Mayence (1-1), mais nouveau leader du championnat, et le Werder Brême, bourreau de Monchengladbach (3-0) revenu à hauteur de l'ogre bavarois au classement. Neutralisé à Francfort (2-2), le HSV piétine toujours.
 Les troupes de Thomas Schaaf reviennent dans la course au titre.
Bien que sevré de victoire depuis quatre levées, l'autre club de Bavière s'est en effet hissé sur le trône d'Allemagne au bénéfice d'un match nul concédé face à Mayence 1-1. Rapidement mis sur orbite par un but de Polak (25e), les pensionnaires du Frankenstadion ont manqué de peu leurs retrouvailles avec le succès, victimes de la fébrilité de Vittek sur penalty (27e) et de la nervosité de Mnari, expulsé peu avant la mi-temps (44e). Autant d'aubaines pour Mayence qui ne se sera pas fait prier en revanche pour égaliser dans les dernières minutes de la rencontre, par l'entremise de Babatz (85e).
Le Bayern perd la tête
Une relative contre-performance donc, qui suffit néanmoins au bonheur des hommes de Hans Meyer, le Bayern n'ayant pas su profiter de son déplacement sur les terres de la lanterne rouge pour prendre la tangente. A peine rassérénés par leur probant triomphe à Meazza, en milieu de semaine, dans l'antre de l'Inter Milan (2-0), les Munichois ont brutalement renoué avec le quotidien rugueux de la Bundesliga, défaits à la surprise générale par les modestes joueurs de Wolfsburg (0-1) et rejetés au quatrième rang du classement.
De quoi aiguiser l'appétit de Schalke 04 et du Hertha Berlin, confrontés respectivement à Leverkusen et Stuttgart, dimanche, et potentiels leaders du championnat à l'issue de la sixième journée en cas de victoire. Pressenti pour se mêler à la course au titre en début de saison, le HSV attendra en revanche pour se faire une place au soleil. Neutralisés par l'Eintracht Francfort (2-2), les Hambourgeois ont signé ce week-end leur douzième match officiel - toutes compétitions confondues - sans l'ombre d'un succès.
Avec deux victoires, deux défaites et deux matches nuls au compteur, Dortmund fait pour sa part dans la parité mais peine à nourrir ses ambitions. Malgré toute la volonté de Smolarek, auteur d'un doublé vendredi, le Borussia, tenu en échec par Hanovre 2-2, se morfond toujours dans le ventre mou du classement, en neuvième position
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