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OM -OL Le choc!!!
17/10/2006 20:17
L'oeil d'Albert Emon sur le jeu de l'OL

Lors de l'émission d'OMtv "L'Oeil du Coach", Albert Emon a apporté son analyse sur le jeu de Lyon. Passage en revue avec le coach de l'OM des principales forces du futur adversaire de l'OM.
Le match nul à Lens est encore dans toutes les têtes que les Olympiens doivent déjà se focaliser sur la réception du quintuple champion de France lyonnais. Le scénario fâcheux du match à Bollaërt pourrait néanmoins être un carburant supplémentaire dans la motivation marseillaise face aux Gones. «Il y a une frustration par rapport au résultat du match à Lens. Il y a eu de la qualité de jeu et on a vu une équipe de l’OM qui s’est battue collectivement pour réussir une performance. On n’y est pas arrivé mais il y a eu aussi d’autres circonstances que l’arbitrage qui ne nous ont pas permis de gagner ce match. On peut donc encore faire mieux et on va essayer de le faire contre Lyon» indique ainsi l’entraîneur marseillais. Et de la motivation, il en faudra face à la machine infernale lyonnaise aux statistiques affolantes depuis l’entame. Huit victoires et un nul en neuf journées de championnat pour un total de 22 buts marqués et 7 encaissés. Si on y ajoute la démonstration face au Real (2-0) et la ballade champêtre en Roumanie face au Steaua Bucarest (0-3) en Champion’s League, le tableau a de quoi faire peur. «En ce moment, Lyon fait la différence grâce à ses milieux de terrain qui marquent beaucoup de buts, analyse Albert Emon, les attaquants travaillent énormément pour le collectif et le talent des milieux permet de faire gagner des matches. Ils ont donc cette particularité qui fait que tout le monde peut marquer ce qui les rend encore plus difficile à contenir. Mais… mais on sera aussi onze sur le terrain.»
GARE AUX MILIEUX DE TERRAINS LYONNAIS
 Le technicien phocéen a bien ciblé la dangerosité des milieux rhodaniens. Les chiffres ne le font pas mentir. Malouda (4 buts), Juninho (3 buts), Tiago (3 buts) ne font pas qu’organiser le jeu en Ligue 1. Ils sont aussi à la finition. En y ajoutant Cris (1 but) et Squillaci (1 but), les défenseurs et les milieux lyonnais ont inscrit 12 buts soit plus de la moitié des 22 réalisations de l’équipe en championnat ! Pour contrebalancer ces données, l’OM peut se targuer de posséder la meilleure défense de l’élite (5 buts encaissés contre 7 à l’OL) et l’attaque olympienne également des chiffres qui ne prêtent pas à rougir (17 buts). D’ailleurs, on constate qu’à Marseille, ce sont les attaquants qui marquent le plus (12 buts inscrits par les attaquants phocéens plus deux autres si on comptabilise Franck Ribéry et Samir Nasri auteurs d'un but chacun.) Bref, le choc promet de tenir ses promesses et Albert Emon livre déjà quelques pistes pour la réussite au moment de défier Lyon. «On verra comment cela va se dérouler mais on sait déjà qu’il faudra une présence très haute dans les 20 premières minutes du match. Dans ce cas-là, il y aura des possibilités de contre. En gagnant les duels et avec notre lecture du jeu et notre intelligence tactique, il faudra faire le nécessaire, prévient-il, il ne faudra pas les laisser jouer mais ce sera dur pendant près de 95 minutes car ils auront des moments forts et il faudra les gérer. Mais, ils auront aussi des moments faibles. Peut-être en début de match, peut-être en fin de match ? Ce sera à nous de voir et d’anticiper.»Le décor de l’affiche est ainsi planté mais il est important de garder en tête que son résultat ne conditionnera pas non plus tout le reste de la saison olympienne. C’est bien l’avis d’Albert Emon. «Ca reste un match de championnat et ce sera surtout sur 38 rencontres que l’on devra s’impliquer totalement si on veut finir dans les trois premiers. Peut-être que ce match intervient à un bon moment car nous sommes un peu plus libres dans nos têtes et dans nos jambes mais l’important sera surtout de jouer à fond sans avoir de regrets à la fin.»
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Boukary DRAME<>
17/10/2006 20:08
Ravi que Guy Lacombe lui ait donné sa chance si tôt dans la saison, Boukary Dramé enchaîne les matches (dix toutes compétitions confondues) et les bonnes performances. Conscient des progrès à réaliser, le jeune latéral gauche n’en est pas moins ambitieux. Entretien.
Au camp des Loges, le lundi 16 octobre PSG.FR -. Boukary, que s’est il passé à la mi-temps de PSG-Sedan pour que vous réussissiez un tel retournement de situation ?Boukary Dramé : « On s’est simplement dit que si à onze contre onze il y avait un partout, ce serait vraiment dur en infériorité numérique. Nous ne nous sommes pas énervés. Le coach nous a expliqué ce qu’il fallait faire. D’abord, il était important de bien défendre, car si on ne prenait pas de but on ne perdait pas. Guy Lacombe a laissé Kalou, Pedro et Amara devant, leur disant que s’ils étaient fatigués, Cristian (Rodriguez) et Fabrice (Pancrate) étaient prêts sur le banc. On a respecté ses consignes et cela a marché. Les défenseurs ont joué plus haut et cela a donné plus de liberté aux attaquants. » PSG.FR -. Sur le plan personnel comment jugez-vous votre début de saison ?Boukary Dramé : « Je suis content de jouer. J’essaye de continuer sans faire de bruit et sans me prendre la tête. Du jour au lendemain, je peux retourner sur le banc. Je m’attends à tout avec le retour de Sylvain (Armand). Je ne sais pas s’il y a une hiérarchie, mais tout le monde le sait, Armand possède plus d’expérience que moi. Si le coach décide de le faire jouer à ma place, il n’y a rien à dire. »
« Je ne pense pas m’arrêter là »
PSG.FR -. Savez-vous pourquoi vous êtes sorti à la pause face à Saint-Étienne ? Boukary Dramé : « Le coach a fait un choix tactique, mais il ne m’a rien reproché. Personnellement, je me sentais bien. Face à Sedan, c’est Jérôme qui a dû céder sa place. Il faut savoir l’accepter pour le bien du collectif. »
PSG.FR -. Avant de jouer en Ligue 1, saviez-vous si vous aviez le niveau ? Boukary Dramé : « Non, je ne le savais pas. Quand on n’essaye pas, on ne peut pas savoir si ça marche. Je me sens de mieux en mieux, mais je sais que je dois encore progresser dans plein de domaines. Je veux d’ailleurs toujours progresser, surtout dans cette équipe de Paris. »
PSG.FR -. Qu’est-ce qui a changé pour vous depuis que vous jouez avec l’équipe première ?
Boukary Dramé : « Le regard du public est différent. On me reconnaît, on m’encourage. Je remercie d’ailleurs les supporters. Moi, je ne me prends pas la tête pour ça. Mes potes aussi me chambrent un peu plus, comme sur le penalty de samedi. Ils me disent que je suis tombé n’importe comment. (Rires). » PSG.FR -. Quelles sont vos ambitions aujourd’hui ?Boukary Dramé : « Je ne pense pas m’arrêter là. J’espère jouer encore, car la saison est longue. Sylvain Armand ne jouera sans doute pas tous les matches, même s'il l’avait fait il y a deux ans. A moi de prouver que je peux être un bon suppléant. »
Propos recueillis par Loïc Prigent
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Allez PARIS
15/10/2006 13:04
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Remonter remonter remonter!!!
15/10/2006 12:59
Boumsong: "Pas de joker"
12/10/2006 Propos recueillis par Nicolas MOSCOVICI de Sports.fr Jean-Alain Boumsong a rejoint ses compatriotes Trezeguet, Zebina, sans oublier Didier Deschamps, à la Juventus de Turin. Une Juve qui doit se contenter de Serie B et qui se déplace samedi sur la pelouse de Trévise pour le compte de la 7e journée. Plombés par une pénalité de 17 points, les Piémontais doivent cravacher pour refaire surface. Un challenge qui n'effraie pas «Boum», convaincu de "pouvoir progresser" à Turin après une saison délicate du côté de Newcastle. Objectif: la remontée immédiate en Serie A. Sans choix possible.
Jean-Alain Boumsong ne veut pas perdre de temps en Serie B.
Comment se passe une saison en Serie B au sein de la Juventus ? C'est assez simple. On ne joue que des matches de Coupe. L'objectif est limpide: gagner tous nos matches. Le classement n'est pas ce qui nous importe le plus pour le moment. Notre objectif est d'enchaîner un maximum de victoires, sans calculer. D'autant que les recours devant les tribunaux ne sont pas tous épuisés.
Effacer cette pénalité constitue-t-il un premier véritable challenge ? C'est sûr que lorsque nous serons revenus à zéro point (la Juve en compte –4 avant son déplacement à Trévise samedi), on aura l'impression d'avoir rempli un premier contrat. Mais vous comprenez bien que ce ne sera qu'une infime partie du boulot. L'avantage, c'est que le calendrier de Serie B comporte 42 journées, ça nous laisse du temps pour revenir sur nos adversaires.
Ne craignez-vous pas un risque de régression sportive en Serie B ? Pas du tout. Si j'ai signé, c'est que je considère que je peux progresser à la Juventus. Nous jouons face à des adversaires ultra-motivés, qui rêvent de nous faire chuter. Cela demande une concentration extrême. En outre, je fais entièrement confiance à Didier Deschamps. Sous ses ordres, je ne peux que m'améliorer.
"Je ne jouerai pas deux saisons en Serie B"
Est-ce le même discours concernant l'équipe de France ? Je ne me pose pas la question pour tout vous dire. Je suis comme les autres, tributaire des choix et des desiderata du sélectionneur. Je l'ai prévenu de mon choix au moment de signer à Turin. A cette époque, on pensait vraiment pouvoir jouer en Serie A, ça a finalement été la Serie B. Pour une saison seulement. Les choses sont claires, je ne jouerai pas deux saisons en Serie B.
Quelle est l'ambiance dans un groupe que l'on imagine un peu frustré ? L'ambiance est excellente. Là encore, Didider Deschamps y est pour beaucoup. Il sait que la Juve n'est pas à sa place, mais il sait aussi qu'il a beaucoup d'internationaux sous ses ordres. Il arrive à trouver un équilibre qui permet de motiver tout le monde. Et nous, sur le terrain, on tente de concrétiser tout ça par des victoires.
A quel niveau situez-vous la Serie B ? je vous l'ai dit, on joue contre des équipes très déterminées. Cela nivelle un peu les valeurs. Sur tous nos matches, la première demi-heure a toujours été accrochée. Ensuite, on est toujours parvenus à prendre le dessus, sauf lors du match d'ouverture (1-1 à Rimini). On refera sans doute des matches nuls, il ne faut pas en faire une maladie. Cela dit, il ne faut pas s'y habituer si on veut retrouver la Serie A. Et je ne parle même pas des défaites...
Peut-on comparer la Serie B au championnat écossais, dans lequel vous avez joué au sein des Glasgow Rangers en 2004 ? Oui et non. Comme aux Rangers, à la Juve, on n'a pas le droit à l'erreur, pas de joker, c'est vrai. Mais en Ecosse, il y avait clairement deux championnats, un pour les Rangers et le Celtic et un autre pour le reste des équipes. Ce n'est pas pareil en Serie B. A la Juve, on est seuls face à nous-mêmes en quelque sorte.
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L1 ESPAGNOLE
15/10/2006 12:58
Le Real est loin du compte
Le Real Madrid a passé samedi une bien mauvaise soirée chez son modeste voisin de Getafe en ouverture de la 6e journée de Liga. Plus que la défaite 1-0, les hommes de Capello ont surtout offert une prestation indigne de leur rang. Pour couronner le tout, Ronaldo a été expulsé en fin de match.
Expulsé après un deuxième carton jaune, Ronaldo sort tête basse...
Fabio Capello avait affirmé qu'en cinquante jours, il aurait fait du Real Madrid l'équipe redoutable et quasiment imbattable qu'elle se doit d'être. Le délai arrive à expiration et le Real semble en être toujours au même point. Le technicien italien aura en effet besoin d'un délai supplémentaire pour donner enfin une âme à cette superposition de star qui n'arrive toujours pas à proposer une ligne de conduite cohérente dans son jeu.
Samedi, en ouverture de la 6e journée de Liga, le Real Madrid a en effet offert un piètre spectacle sur la pelouse du voisin de Getafe. Et la presse madrilène n'est pas tendre avec son équipe à une semaine de la visite du Barça à Bernabeu... Les mots sont durs pour décrire les tourments de la maison blanche : "médiocre", "désastreux"... Il est clair que Capello n'a pas encore trouvé la formule magique et le Real s'est fait bouger pendant tout le match par une équipe de Getafe au style direct et sans artifices. En alignant en attaque, la paire Cassano-Van Nistelrooy, l'Italien a pu constater que ces deux-là n'étaient pas fait pour cohabiter tandis que les récupérateurs Emerson et Diarra n'ont pas eu le rendement attendu. A la mi-temps, Ronaldo et Raul remplaçaient ainsi Cassano et Diarra.
En vain, le Real demeurait toujours aussi inefficace et n'inquiétait jamais l'équipe de Bernd Schuster, toujours aussi bien organisée. Ce qui devait arriver arriva alors à l'heure de jeu avec le but inscrit par Getafe, par l'entremise d'Alexis. Un but qui récompensait logiquement une domination évidente. La réaction attendue des Madrilènes n'arriva jamais. Pire, le match tourna au cauchemar quand Ronaldo écopait d'un deuxième carton jaune pour avoir tancé l'arbitre et était expulsé, se privant ainsi du Clasico. Après ce spectacle pathétique, les socios du Real voient déjà se profiler le spectre d'une quatrième saison sans titre... Après le match, Capello ne cherchait pas d'excuse: "L'image offerte par l'équipe a été horrible. Nous avons mal joué et Getafe a mérité sa victoire".
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