Catgorie : Calif Euro 2008 et le monde des Bleus

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Créé le : 07/03/2006 20:37
Modifié : 05/02/2007 17:50

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Origine : planète du PSG et dans le cul l'OM
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Forfait pour 2 semaines!!

12/10/2006 19:25



Coupet, la vilaine coupure

 

Coupet va manquer à l'OL ces dix prochains jours. Coupet va manquer à l'OL ces 15 prochains jours.
Déjà touché à la main droite face à l'Ecosse, une blessure qui l'avait contraint à déclarer forfait face aux Féroé, Grégory Coupet joue de malchance. Le gardien de l'OL et de l'équipe de France, victime jeudi d'un accident domestique, s'est entaillé deux doigts. Une blessure lourde de conséquences puisqu'elle éloignera le portier lyonnais des terrains ces dix prochains jours. Un coup dur pour Coupet qui fera défaut à l'OL lors du derby samedi, pour le match de Ligue des Champions face à Kiev mais aussi pour le choc face à l'OM.




et 1 et 2 et 3 et 4 et 5 -0

12/10/2006 19:23



Les Bleus d'attaque



Saha, Henry, Anelka et Trezeguet deux fois, les quatre attaquants alignés par Raymond Domenech lors du match France-Iles Féroé mercredi soir à Sochaux ont marqué, pour un succès 5-0 de l'équipe de France qui lui permet d'effacer son échec à Glasgow. Et comme un peu plus tôt, l'Ecosse s'était inclinée 2-0 en Ukraine, on peut parler de soirée réussie pour les Bleus, même si l'Italie, victorieuse 3-1 en Géorgie, et l'Ukraine reviennent également dans la course à la qualification pour l'Euro 2008.

Henry et les Bleus se sont amusés.Henry et les Bleus se sont amusés.
Mission accomplie! Quatre jours après s'être inclinée à Glasgow, la France n'a pas manqué son rendez-vous avec le public de Bonal pour sa première à Sochaux, s'imposant largement 5-0. Et s'il a fallu attendre le dernier quart d'heure pour voir le score prendre de l'ampleur, les Bleus ont su éviter de se précipiter face à des adversaires qui venaient avant tout pour éviter une «valise», s'inspirant de la tactique écossaise, à savoir rester groupé derrière et tâcher de retarder l'échéance.

"Tout a été parfait, se réjouira ainsi le capitaine Vieira au micro de TF1. On s'est créé des occases, on a mis des buts, il fallait faire preuve de beaucoup de patience, et à l'arrivée, on les a épuisés." Même satisfaction chez Raymond Domenech, heureux d'avoir vu "des occasions, des buts, du spectacle et les attaquants qui ont tous marqué", même si le sélectionneur tempère aussitôt: "On a retenu la leçon de l'Ecosse, on a su varier le jeu long et court, il y a eu des renversements, mais j'aurais préféré qu'on s'en souvienne au premier match. Sur le bilan des deux matches, il m'en manque un (but, ndlr)".

A l'arrivée, la France profite de la défaite écossaise à Kiev (2-0) pour revenir à la hauteur de la formation de Walter Smith en tête de ce groupe B (elle reste derrière à la différence de buts particulière), mais elle voit aussi revenir sur ses talons l'Italie, qui a confirmé son redressement en allant gagner en Géorgie (3-1), et l'Ukraine. Quatre équipes pour deux places, pas de doute: ce groupe B sera disputé jusqu'au bout.

36 secondes pour débloquer le compteur...

L'une des interrogations de ce troisième France-Féroé de l'histoire tenait à la composition de l'équipe de l'équipe de France au coup d'envoi: Raymond Domenech aura attendu le dernier moment pour lever le voile et offrir leur première sélection à Toulalan et Escudé, titularisés aux places de Makelele et Abidal, qu'on annonçait incertains car légèrement blessés, tandis que Saha prend la place de Trezeguet au côté d'Henry en pointe. L'autre question qui se posait était de savoir au bout de combien de temps les Français allaient parvenir à faire sauter le verrou des Féroé, le bruyant public du stade Bonal est très vite fixé: sur l'engagement, le ballon file côté droit vers Ribéry puis Sagnol qui centre au second poteau pour Henry dont la remise de la tête dans l'axe trouve Saha pour une reprise du droit gagnante. Le tout au bout de 36 secondes, soit le deuxième but le plus rapide de l'histoire de l'équipe de France derrière les 34 de Franck Sauzée lors d'un France-Albanie en 1991 (5-0).

Les Français ne pouvaient pas rêver meilleur départ, ils tentent d'enfoncer le clou, mais Saha, à l'entrée de la surface et sur son mauvais pied, le droit, frappe à côté (14e). Ce n'est que partie remise: quelques minutes plus tard, sur un nouvel échange Ribéry-Sagnol, le joueur du Bayern adresse un petit centre du gauche dans la surface que Saha laisse filer au second poteau pour Henry qui, après un contrôle, inscrit son 38e but en Bleu d'une frappe à bout portant (22e). Bonal savoure, mais devra se contenter de ces deux buts lors des 45 premières minutes, malgré de multiples tentatives pour Toulalan, Henry à deux reprises, Saha d'une lourde frappe de loin (37e), Ribéry (38e), Henry encore (39e et 44e).

Anelka-Trezeguet, rentrée gagnante!

Et ça repart de plus belle après le repos avec un but refusé à Henry pour un hors jeu limite (56e), un missile de Ribéry de peu au-dessus à la sortie d'un une-deux avec Henry (57e), un coup franc de Malouda mal ajusté (59e), un nouveau tir du Lyonnais, cette fois du droit, dans les bras de Mikkelsen (59e), une frappe de loin d'Escudé à côté (60e)... Voyant ses protégés s'user à tenter en vain de forcer le verrou adverse, Raymond Domenech change complètement son duo d'attaque, puisque Trezeguet et Anelka remplacent Saha et Henry (61e).

Ça ne vient toujours pas, malgré une reprise acrobatique d'Escudé (66e), un essai puissant d'Anelka juste au-dessus (68e), un autre à ras de terre de Malouda bloqué par Mikkelsen (71e). Il faut finalement attendre le dernier quart d'heure pour assister au troisième but: il est l'oeuvre d'Anelka à la réception d'un corner de Ribéry dévié de la tête par Trezeguet (76e). A peine le temps d'engager que les Féroé en prennent un quatrième: Malouda centre pour Trezeguet qui rate le ballon, pas Sagnol qui le récupère instantanément et centre pour la reprise victorieuse de... Trezeguet (78e)!

Les quatre attaquants bleus ont marqué, on peut parler de coaching réussi de la part de Raymond Domenech! Et Trezeguet montre que, après sa difficile soirée à Glasgow samedi dernier, il est capable de vite se remettre en question et de retrouver son efficacité, puisqu'il marque dans la foulée son 34e but en sélection, en dribblant Mikkelsen qui n'avait pu que repousser une frappe de Malouda (84e). "Je suis très content pour lui, soulignera Vieira après le match, ça a été difficile pour lui en Ecosse, mais il a continué à s'accrocher, il a montré qu'il reste un des meilleurs attaquants de France". Bref, comme les Bleus, Trezeguet a profité de cette soirée sochalienne pour refaire le plein d'énergie. Rendez-vous en mars pour la suite de ces éliminatoires avec un déplacement en Lituanie (les Bleus jouent cependant en amical le 15 novembre contre la Grèce)!






L'ESPAGNE

07/10/2006 09:41



La vie sans Raul

La Furia est au plus mal. Depuis l'élimination en Coupe du monde jusqu'à l'inquiétante défaite en Irlande (2-3) pour le début des qualifications à l'Euro 2008, l'équipe d'Espagne est retombée sur terre. Les promesses entrevues en Allemagne ne sont plus qu'un lointain souvenir pour une équipe qui va jouer une partie de sa qualification en Suède samedi. Après avoir proposé sa démission (refusée), Luis Aragones, le sélectionneur espagnol a frappé un grand coup en écartant Raul. Une première depuis dix ans.

Le retour en forme de Raul n'a pas convaincu AragonesLe retour en forme de Raul n'a pas convaincu Aragones
Vendredi dernier, Luis Aragones a rendu une liste inédite. Une sélection, pour les deux prochaines rencontres face à la Suède pour le compte de la troisième journée des qualifications à l'Euro 2008 puis en amical face à l'Argentine, particulièrement attendue. La folle rumeur de la non-sélection de Raul, qui courait depuis plusieurs jours, a été confirmée. L'attaquant du Real Madrid, longtemps considéré comme intouchable en sélection a appris la nouvelle... à la radio ! Une nouvelle preuve de la grande classe de Luis Aragones.

Evidemment, la nouvelle a été longuement commentée. Certains comprenant cette décision tandis que les autres s'offusquaient d'une telle décision. Car étrangement, c'est au moment où l'attaquant sort d'une longue période d'inefficacité qu'Aragones décide de le laisser à la maison. Force est de constater que les trois dernières saisons ont été pénibles pour Raul. Particulièrement la dernière année, puisqu'avant son doublé en Ligue des Champions face au Dynamo Kiev, le 10 des Merengue était resté muet pendant plus de onze mois.

Aragones a dû s'expliquer

Depuis quelques jours, Luis Aragones a ainsi dû s'expliquer sur son choix. Après l'éternel "je prends les meilleurs du moment", il a précisé que "les portes de la Furia ne sont pas fermées pour Raul" mettant de côté les rumeurs d'une brouille entre les deux hommes en pleine Coupe du monde. Plus précisément, la presse avait expliqué que Luis Aragones aurait très sérieusement songé à virer Raul et Canizares en pleine Coupe du monde pour "indiscipline". De son côté, Raul a répondu en marquant le but de son équipe dans le derby face à l'Atletico (1-1). Avec trois buts en une semaine, le Madrilène retrouve une moyenne digne de ses meilleures années...

Depuis, il y a eu un nouvel épisode avec la blessure de Reyes. Aragones a expliqué à la presse espagnole "ne pas avoir songé à rappeler Raul". Il a fait un heureux en piochant Antonio Puerta (FC Séville) des Espoirs espagnols. C'est donc sans Raul que la Furia va se déplacer en Suède. A priori, Luis Aragones devrait parier sur une paire Torres-Villa en pointe. Les deux hommes se connaissent bien et sont actuellement en pleine confiance.

Malgré tout, Luis Aragones sait qu'il joue gros face à la Suède. Deuxièmes du groupe F, les Espagnols ont perdu des points importants face à l'Irlande du Nord. Un deuxième revers consécutif leur compliquerait singulièrement la tâche. Car il ne faut pas oublier que outre la Suède, le Danemark ne sera pas une proie à prendre à la légère. Luis Aragones est d'ailleurs passé à l'attaque en déclarant que seule la victoire pourrait l'intéresser. Il compte changer de stratégie pour y parvenir. Finie l'attaque à outrance, il semblerait que la prudence soit désormais de mise. L'Espagne devrait jouer le contre et miser sur la vitesse de ses attaquants.
Mais comme l'a déclaré le sélectionneur. Peu importe la manière, seule la victoire sera belle...




Gagné Gagné Gagné Gagné Gagné!!!!

07/10/2006 09:37



Soutenez l'effort, les Bleus !


 Un mois après son impressionnant récital (3-1) réussi aux dépens des champions du monde italiens, l'équipe de France passe samedi, face à l'Ecosse, (en direct sur notre site dès 18h) un nouveau test sur la route de l'Euro 2008. Dans le temple d'Hampden Park, les Bleus, bien que diminués par les blessures, devront faire front pour espérer, en cas de succès à Glasgow, prendre seuls la tête de leur groupe de qualification avant le rendez-vous a priori plus abordable mercredi, à Sochaux, face aux îles Féroé.

Thierry Henry, tout sourire, indique la voie aux Bleus: la tête du groupe!Thierry Henry, tout sourire, indique la voie aux Bleus: la tête du groupe!
Même s'ils comptent déjà six bons gros points après deux sorties pleines d'allant, dont une savoureuse soirée aux dépens de l'Italie, dans ces qualifications pour l'Euro 2008, Raymond Domenech et les joueurs de l'équipe de France n'ignorent rien de l'importance du déplacement de samedi à Glasgow, où le duel face aux Ecossais, co-leaders du groupe avec les Tricolores, s'annonce forcément musclé. "C'est le premier véritable rendez-vous sur le chemin du championnat d'Europe", assène d'ailleurs Domenech comme pour mieux donner le ton de l'affrontement qui s'annonce.

Face à un adversaire rajeuni qui, sous les ordres de Walter Smith, semble animé d'un nouveau souffle, capable en tout cas d'écarter sans ménagement la Lituanie et les Iles Féroé (face auxquels les Bleus savent que rien n'est donné...) avec à la clé huit buts inscrits pour un seul encaissé, les Bleus ont tout intérêt à maintenir la garde bien haute et à soutenir un effort si bien initié face à la Géorgie et l'Italie. Forcément naturelle et si bien maîtrisée face aux Transalpins, la motivation devra être encore au rendez-vous pour résister à la furia écossaise qui ne manquera sans doute pas d'enflammer les coeurs d'Hampden Park samedi, en cette fin d'après-midi que l'on imagine déjà typiquement britannique. "Un vrai public, un vrai temps écossais pour un vrai test." Raymond Domenech connaît la chanson...

Domenech: L'Ecosse? Des joueurs capables de jouer au football

Les Tricolores ont beau rester sur un bilan inestimable d'un seul revers (contre la Russie 2-3, en juin 1999), lors de leurs 42 derniers matches de qualification, le rendez-vous a été décrété du côté de Clairefontaine comme l'un des tournants de cette campagne. "Le match en Ecosse est un tournant dans la compétition confirme Willy Sagnol. On est à six points, on peut se retrouver à neuf, puis à douze après les Féroé. On a l'occasion de faire le break sur nos poursuivants." Les états de service récents des équipes de France face à l'Ecosse, qui confinent à la perfection (quatre victoires 3-0, 2-1, 2-0 et 5-0 lors des quatre dernières oppositions), ont des allures de trompe-l'oeil car se déplacer là-haut, du côté de Glasgow, n'a jamais rien d'une partie de plaisir, même si les clichés sont sans doute à ranger au placard.

"Attention de ne pas rester sur les stéréotypes", prévient Domenech au sujet de son adversaire qui n'a plus grand chose à voir avec les chantres connus du kick and rush. "On connaît le jeu écossais. C'est trompeur de croire que c'est juste le jeu de tête et les duels, il y a aussi des joueurs capables de jouer au football, ce n'est plus aussi tranché qu'il y a vingt ans. Ce sont des joueurs capables de dribbler, de jouer à une touche de balle, ils ont un éventail beaucoup plus large. L'ambiance va être particulière." Et le sélectionneur national de prendre des accents « laportien » pour mettre en garde ses joueurs: "Il va falloir résister à cette pression qui n'est pas simplement dans le combat physique". Message de toute évidence reçu cinq sur cinq par Sagnol: "On ne sous-estime pas l'Ecosse, loin de là. Il n'y a aucun risque de défaillance mentale de notre part. On sait qu'on va se faire bouger. A nous de répondre avec nos qualités. On est bien préparés physiquement. On va essayer d'aller le plus vite possible et imprimer notre rythme à la partie."

Un an après un succès à Dublin (1-0), si décisif sur la route de la Coupe du monde en Allemagne, le parallèle avec le rendez-vous de Glasgow ne semble pas du goût du Bavarois: "C'est un match qui sera différent de celui que l'on a disputé en Irlande. Même s'ils sont voisins, les Irlandais avaient le souci de construire leurs actions, de développer un jeu court. En Ecosse ce sera un jeu plus direct. En outre, à Dublin, nous étions dans l'obligation de gagner. A Glasgow, la pression sera moindre du fait de notre bon départ dans ces qualifications. Il n'en reste pas moins que notre objectif est de remporter la victoire."

Retour du 4-4-2 et de Trezeguet ?

Dans ce tableau si bien dépeint, seules les nouvelles venues de l'infirmerie ont de quoi faire perdre des couleurs aux Tricolores. Déjà privés du héros de France-Italie (3-0), Sidney Govou, les vice-champions du monde pourraient, pour négocier le virage de Glasgow, être privés non seulement de leur capitaine Patrick Vieira, en délicatesse avec une cheville, et qui, en cas de forfait, abandonnerait son brassard à Lilian Thuram. Mais aussi de Louis Saha (adducteurs), dont la connaissance des joutes outre-Manche n'aurait pas été de trop, et de William Gallas, que sa cuisse pourrait empêcher de faire avec les Bleus ce qu'il a été capable de faire avec Arsenal le week-end dernier...

Des incertitudes qui pèsent et pourraient pousser Domenech à renouer avec un système en 4-4-2 où David Trezeguet, dont le sélectionneur dit qu'il "enrichit ma réflexion", pourrait effectuer son retour. A moins, à moins que le revenant Anelka, ne revienne en grâce aussi vite qu'il avait été écarté avant l'épopée allemande en Coupe du monde. Le mot de la fin pour Domenech: "La seule chose qui compte, c'est la qualif' à la fin. Même si on fait un bon résultat, là il n'y aura rien de fait."





COUPET tien les rennes!!

06/10/2006 20:00



Barthez, c'est bel et bien fini


 La décision ne faisait guère de doute, elle est désormais officielle. Fabien Barthez a annoncé qu'il mettait à 35 ans un terme à sa carrière de footballeur. Jeudi, sur le plateau du journal de TF1, le gardien champion du monde, ému, a justifié son choix par "des problèmes familiaux". Sans club depuis la fin de son bail marseillais en mai dernier, le natif de Lavelanet a effectué ses dernières parades lors de la dernière Coupe du monde, en Allemagne, où, avec les Bleus, il s'était hissé jusqu'en finale...

Clap de fin pour Barthez...Clap de fin pour Barthez...
Une légende se retire. Les yeux brillants sur le plateau du JT de TF1, Fabien Barthez s'est résolu à l'évidence: il ne sera plus joueur de football professionnel. A 35 ans, le Divin Chauve, sans club après avoir quitté l'OM en fin de saison dernière, l'a annoncé sans détour: "J'arrête le football, en club comme en équipe de France." Le couperet est donc tombé. Même s'il aurait voulu continuer, même s'il aurait voulu ne pas rester sur une finale de Coupe du monde perdue en guise de dernière sortie.

Le TFC aurait dû constituer la dernière étape d'une carrière hors norme. Terminer dans les buts du club qui l'a formé, sous les ordres d'Elie Baup, l'entraîneur qui fut son premier mentor sur les bords de la Garonne aurait été conforme à ses aspirations. Car le natif de Lavelanet, dans l'Ariège, avait émis le souhait, tout au long de l'été, de se rapprocher de sa famille et de sa mère, malade. Il vient d'ailleurs récemment de s'installer dans la Ville Rose. Malheureusement pour lui, les portes de son club de coeur lui seront toujours restées fermées. Même le départ de Christophe Revault vers Rennes n'y aura rien changé. De communiqués en démentis, le président Olivier Sadran a toujours maintenu le cap. A la plus grande peine du champion du monde.

Un palmarès de géant

Maintenant que sa décision est officielle, Barthez assure qu'il va continuer "à se faire plaisir comme je le fais depuis que j'ai 15 ans, mais d'une autre façon, sans le football. Je vais partir dans une nouvelle vie." Une nouvelle vie qui ne fera jamais oublier la précédente, débutée, le 21 septembre 1991, avec les Violets, sur la pelouse de Nancy. Gardien le plus titré du football français, Barthez a tout gagné: En Bleu, avec 87 sélections, il fut bien évidemment des succès de 1998 et 2000, sans oublier la Coupe des Confédérations en 2003. En club, l'OM l'a sacré champion d'Europe en 1993, Monaco lui a offert deux titres de champion de France en 1997 et 2000. Pour sa seule expérience à l'étranger, du côté de Manchester United, Barthez aura soufflé le chaud et le froid, retraversant tout de même le Channel avec deux nouveaux titres de champion national (2001 et 2003). Impressionnant !

Outre les titres et les trophées, Barthez était également devenu un personnage incontournable du football hexagonal. Les baisers déposés sur son crâne par Laurent Blanc restent des images indissociables du succès mondial de 1998. Sa marionnette en latex aux Guignols atteste de son incontestable popularité. Mais, comme tous les grands joueurs, le portier possédait sa part d'ombre. Le crachat envoyé à la face d'un arbitre marocain lors d'un match amical de l'OM en février 2005, constituera la plus grosse faute de sa carrière. La suspension qui suivit son geste permettra à Grégory Coupet de prendre la place de gardien numéro 1 dans le coeur des amoureux des Bleus. Barthez ne bronchera pas. Contre la vox populi, Domenech lui fera tout de même confiance à l'aube de l'épopée allemande. Comme à son habitude, ce dernier ne faillira pas. Mais ne pourra rien sur un ultime tir au but de Grosso, un triste 9 juillet à Berlin...




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